Le Gendre Idéal
Datte: 19/08/2020,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byGerald F., Source: Literotica
L'été 1992, sur une plage du Midi, j'ai vingt-trois ans. Que voulez-vous que l'on fasse, à cet âge, en cet endroit et en cette saison? Pour ma part, j'ai tout simplement retrouvé Angélique, une fille de mon âge que je connais depuis deux ans. Elle et moi nous considérons comme fiancés, même si, séparés par plusieurs centaines de kilomètres en raison de nos études, nous ne nous voyons guère qu'aux vacances. Cet été, elle est accompagnée de sa mère qui a loué une maison pas loin de chez moi. C'est une petite blonde pulpeuse (Angélique, pas sa mère) avec des seins auxquels on pourrait accrocher sa veste et un de ces culs qui me font dire "plus il y en a, mieux c'est". Elle est d'un tempérament plutôt réservé, sauf au lit où elle est toujours en quête d'expériences nouvelles. Et ce n'est pas la présence de sa mère qui nous gênera: depuis le début de leur séjour, je l'ai à peine vue ou entendue.
Angélique m'explique pourquoi alors que nous prenons notre petit déjeuner ensemble. Ses parents ont divorcé voici quelques mois, et Marie-Cécile (c'est le prénom de sa mère) s'en remet très mal. Je m'en serais douté, à voir la tête qu'elle faisait lorsque je l'ai aperçue. C'est une femme d'une quarantaine d'années, aux cheveux brun roux, au teint plus mat que celui de sa fille, qui serait assez belle sans son air d'accusé venant de s'entendre condamner à perpétuité.
"Elle est en pleine dépression, dit Angélique. Elle n'a que quarante-deux ans, et elle a l'impression que sa vie est ...
... finie. Je suis en train de voir ma mère se déglinguer sous mes yeux. J'ai peur qu'elle ne finisse par se tuer!"
Ma fiancée a l'air sérieusement inquiète.
"Qu'est-ce que tu ferais, toi?"
"Je ne sais pas. J'essaierais de lui trouver quelqu'un d'autre..."
"Plus facile à dire qu'à faire," répond Angélique avec un sourire amer. Elle ne sort plus de chez elle, j'ai dû la traîner jusqu'ici pour les vacances."
Elle doit également presque traîner Marie-Cécile, le lendemain soir, pour qu'elle accepte de nous accompagner en boîte avec plusieurs de nos copains. Au bout de deux heures, ma fiancée vient néanmoins me dire que sa mère se sent fatiguée. Nous décidons que je laisserai Angélique sur place avec nos amis, le temps de ramener Marie-Cécile en voiture. Le long du chemin, elle et moi parlons quelque peu de nos familles respectives. De son côté, c'est sordidement banal : trompée pendant des années sans le savoir, puis en le sachant, et finalement plantée là pour une plus jeune. Nous venons d'arriver devant chez elle quand elle finit par éclater en sanglots. Après avoir arrêté le moteur, je lui pose un bras sur les épaules pour la réconforter. Elle pleure un peu contre moi, ce qui me laisse le temps de savoir que la peau de son épaule est aussi douce que celle de sa fille, et que, sous sa robe d'été, elle a le corps aussi bien dessiné que celui d'Angélique. Suivre le fil de ces réflexions me met peu à peu dans un état dont je crève de peur qu'elle s'aperçoive, appuyée ...