La punition de la directrice (5)
Datte: 19/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
... poussières, la dernière fois. Et elles se sont accumulées. Elles vous ont attendue. Car, vous vous en doutez, ça n’est pas un travail pour moi. Ça, je le laisse aux salopes serviles dont je fais mes esclaves, les grosses poufs comme vous qui sont prêtes à tout pour se faire défoncer par mon gros phallus.
Alors, appliquez-vous, et n’oubliez pas les étagères... toutes ! Même celles en verre de ma vitrine, même celles-là, là-haut. Pour les atteindre vous avez le droit de prendre l’escabeau qui est là. »
Cette chienne se met à l’œuvre immédiatement et ne discute même pas. Elle époussette en remuant sa croupe. Sûr qu’elle cherche à m’allumer, cette salope !
Et ça n’est pas tout : elle prend l’escabeau et le place très gauchement, c’est-à-dire de façon trop éloignée des meubles. Si bien qu’après avoir monté les marches en se dandinant (et elle monte tout en haut !) la voilà qui se penche plus que de raison : elle me dévoile ainsi ses cuisses, très haut… je vois même ses jarretelles. Cela est évident qu’elle a le feu, qu’elle mouille d’envie de se prendre des grands coups de pine dans le cul !
Elle me fait immédiatement de l’effet cette garce. Je me sens tout de suite très à l’étroit, très serré, dans mon boxer. J’admire cette croupe splendide, bien cambrée, bien galbée et épanouie qui se pavane à un mètre cinquante du sol, telle une œuvre d’art tout en chair exposée sur un piédestal dans une galerie pour amateurs vicelards et obsédés !
Elle me chauffe ainsi avec ...
... son show qui dure vingt bonnes minutes.
Car même quand elle est redescendue et qu’elle s’est mise à épousseter le buffet, elle s’est penchée comme une salope, cambrée au maximum, de façon quasi obscène.
Quand elle semble avoir terminé, elle reste là, l’air un peu évaporé comme une gourdasse en train de chercher si elle n’a rien oublié. J’interromps alors brutalement par une injonction cette rêverie simulée :
« - J’ai soif ! Mon whisky. Et vite. Avec des glaçons. »
Elle s’empresse de me préparer mon drink, ça me plaît. Et approche à pas lents et me tend mon verre.
Puis elle commence à me masser les épaules… alors que je ne lui ai rien demandé ! Elle va le payer.
Pour l’heure c’est assez agréable, même si elle s’y prend mal.
Et puis, si j’ai besoin de me détendre c’est plutôt une certaine partie de mon anatomie qui a besoin d’être détendue, mais ça n’est pas ce traitement qui y arrivera… je connais le remède.
Alors je siffle la fin de la partie – car si elle croit qu’elle va s’en sortir avec un petit massage pseudo-érotique, elle se fait des illusions. Je lui ordonne sévèrement et d’une voix forte :
« - A genoux, et vite ! Je vais déguster ce douze ans d’âge et toi tu vas déguster ce que tu aimes.
Mais tu retrousses ta jupe sur tes reins avant de me prendre en bouche. Je veux voir ce cul qui ferait bander un mort. »
° ° °
Soumise et résignée je soulève ma robe. Il voit des jarretelles qui retiennent mes bas.
Il me dit ensuite : « Enlève ta ...