1. Vacances à la Grande-Canarie (3)


    Datte: 19/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... tendus, trempés de semence.
    
    Le couple semble au bord de la jouissance et les deux crient encore dans leur langue.
    
    Nos voisins mateurs se rapprochent et la femme se colle contre son compagnon pendant que celui-ci se branle comme un fou devant le visage de l’Allemande coquine ; encouragé par des paroles incompréhensibles de sa compagne, il finit par jouir à plusieurs reprises sur le visage offert et qui semble proche de l’extase. De lourdes gouttes de foutre maculent rapidement le visage de la demanderesse qui se lèche les lèvres, le foutre coule vers ses seins, des seins tendus avec des tétons complètement érigés.
    
    Je n’ai pas le temps de me poser de questions car Aline me pousse en avant et, se lâchant me branle juste devant la bouche de l’allemande.
    
    — Jouis sur sa gueule mon salaud, jouis-lui dessus, donne-lui ton foutre mon chéri.
    
    Jamais Aline n’a été aussi crue dans son langage. Elle n’arrête pas de dire, de répéter comme un mantra sexuel.
    
    — Donne-lui ton foutre, donne-lui ton foutre...
    
    Ses paroles, son branle rapide, le couple qui explose et me regarde me font jouir.
    
    Une jouissance venue du plus profond de moi qui me fait lâcher de gros jets de sperme. Aline, au comble de l’excitation crie toujours " gicle, gicle, donne tout ! " et dirige ma queue sur le visage de la femme, comme si elle dirigeait le jet.
    
    J’ai l’impression de me vider encore et encore, je n’avais jamais encore pratiqué l’éjaculation faciale mais pour une première fois, c’est ...
    ... énorme.
    
    Je gicle comme elle dit, ou plutôt crie à plusieurs reprises, et ma semence et celle des autres couvre désormais le visage de la femme. C’est obscène et hyper excitant, et cette vision, je sais déjà qu’elle ne me quittera plus. La femme est complètement partie et s’écroule au sol où son compagnon la rejoint, les deux se léchant mutuellement, partis dans leur monde où nous n’avons finalement été que des accessoires.
    
    Quand je reviens un peu au réel, les bisexuels sont déjà partis, l’autre couple reprend aussi son souffle, nous échangeons un sourire puis nous nous éloignons ensuite chacun de notre côté. Je marche doucement, étourdi par la jouissance et les ondes sexuelles émises par Aline.
    
    — Putain, j’ai la chatte en feu. J’ai adoré te voir la couvrir de sperme, c’était beau putain
    
    Elle n’a plus de frein dans son verbiage et j’avoue que le contraste entre son air de sportive angélique et son discours dans l’amour me plaît. J’ai toujours été très sensible aux mots et là, je suis gâté. Elle continue son discours
    
    — Pouvoir te branler sur elle, c’est comme si j’avais moi aussi une queue et que je jouissais sur elle, j’avais l’impression de la dominer, j’ai mouillé un max.
    
    — Tu veux que je te caresse ?
    
    — Après. Là, j’ai l’impression que si tu le fais je vais tomber d’un coup, et je ne suis pas à leur niveau d’exhib.
    
    — Dit-elle en marchant nue comme une déesse païenne, les cuisses encore humides de ses envies.
    
    — On va aller dans l’eau, j’en peux ...
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