1. La vraie nature d'Amélie


    Datte: 19/08/2020, Catégories: Hardcore, Première fois Sexe Interracial Auteur: hondo1906, Source: xHamster

    Marc était maintenant sûr de gagner son pari avec Raphaël. Non seulement il allait empocher 100 euros, mais en plus il allait bien s’amuser avec elle. Elle est si naïve.
    
    Amélie se retrouve avec son amant sous la douche. Sous le jet délicieux, Marc la frôle, l’effleure, puis l’enlace. Qu’il est puissant ! Elle a l’impression d’être un jouet, une poupée malléable. Son amant l’enserre entre ses bras imposants et la mord, laissant sa marque dans son cou. Un merveilleux frisson court le long de l’échine de la jeune femme. Mais comment va-t-elle justifier cette empreinte à son mari ?
    
    Les remords reviennent. Elle trompe Paul et, qui plus est, avec cet homme qu’elle connaît à peine. Et pourtant, elle s’est donnée à lui si facilement. Si entièrement. C’était il y a deux nuits. Et maintenant elle est de nouveau chez Marc. Un simple coup de fil et elle accourt. N’a-t-elle pas eu tort de se livrer ainsi ?
    
    Et cet autre type, dans la chambre à côté. Ce Raphaël. Qui est-il ? Elle l’a tout de suite trouvé antipathique. Pourquoi Marc ne lui a-t-il pas demandé de déguerpir quand elle est arrivée ? Dès son arrivée, Amélie avait pourtant bien signifié sa déception en découvrant cet homme dans le salon alors qu’elle s’attendait à être seule avec son amant. Mais Marc n’avait-il pas arboré un sourire moqueur ?
    
    — On t’attendait avec impatience, ma chérie.
    
    À quoi jouait-il donc ? On aurait dit qu’il le faisait exprès ! Méfiante, elle s’était dirigée vers une chaise, histoire d’être ...
    ... le plus loin possible des deux hommes assis sur le canapé. Elle tenait à garder ses distances, mais Marc l’avait surprise et en lui agrippant le bras au passage, il l’avait attirée à lui.
    
    — Allez, fais pas ta boudeuse.
    
    Elle détestait qu’on lui parle ainsi. Mais, elle s’était retrouvée, malgré elle, sur les genoux de son amant, avec l’autre sale type qui n’arrêtait pas de reluquer ses cuisses. Elle était vraiment mal à l’aise. Droite comme un I, elle s’astreignait à éviter le moindre geste, mais les mains amples de Marc enserraient sa taille fine et insidieusement tiraient constamment son bassin en arrière jusqu’à ce que, à son insu, elle finisse par se retrouver pratiquement assise sur le membre de son amant. Marc avait alors demandé à Raphaël de « servir à boire à la jolie petite puce ». L’autre avait regardé Amélie avec ses petits yeux de fouine et d’une voix graveleuse :
    
    — Et elle aimerait quoi ?
    
    La jeune femme avait répondu sèchement :
    
    — Un coca !
    
    Le sale type s’était levé et était revenu avec un verre qu’il lui avait tendu avec un sourire mielleux. Les lèvres épaisses s’écartaient sur des dents blanches, carnassières. Amélie ne put retenir un frisson de dégoût. Il avait au moins dix ans de plus que Marc. De taille moyenne, massif, pansu et court sur patte, cet homme apparaissait autant épais physiquement que mal dégrossi intellectuellement. Sa face noire était constellée de taches de pigmentations sombres et verruqueuses et alors qu’il se penchait sur ...
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