De Dame patronnesse à libertine. (4)
Datte: 18/08/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
La soirée chez Anja et Bruno se poursuit en compagnie d’Annie et Jean-Marc qui sont arrivés en retard.
Contrairement à ce que leurs prénoms indiquent, il s’agit d’un couple de métis... Elle, d’après ce qu’elle me dit, est issue d’une union entre une Vietnamienne et un français alors que son mari est un métis antillais...
C’est un beau couple exotique... d’à peine 40 ans.
Evidemment, elle est brune aux longs cheveux descendant jusqu’au creux des reins, le visage ovale aux pommettes un peu aplaties, deux grands yeux en amande et une bouche large aux lèvres étroites. Sa silhouette est svelte avec une poitrine petite mais pointue... (Hummm ! De très jolis seins...).
La taille est ceinte d’une chaînette dorée mais je ne peux en voir plus car Annie porte une sorte de pagne de lanières multicolores.
Jean-Marc est ce que j’appellerais (même si je connais peu de Métis ou de Noirs...) un « beau mec »... Il mesure un bon mètre quatre-vingt, il a le crâne rasé, de grands yeux marron, un nez légèrement épaté et des lèvres ourlées... Ce doit être un adepte des salles de sport car il a une musculature bien dessinée avec des pectoraux saillants et des tablettes de chocolat bien marquées. Il porte encore son pantalon...
C’est sans honte aucune que je suis complètement nue devant eux... et je suis très fière quand Jean-Marc me dit :
— Nous sommes arrivés quand Bruno et Hervé te prenaient en double ! C’était chaud !
— Oh oui... Ils m’ont fait jouir comme jamais. Bruno ...
... est un sacré baiseur !
— Oui... Toutes les femmes qu’il a baisées en conviennent ! Moi la première ! Viens, nous allons nous isoler un peu dans un petit salon... Tu verras, nous allons bien nous amuser nous aussi !
C’est ainsi que je découvre ce salon particulier !
Il a de quoi être particulier... Deux croix de Saint André sont plaquées contre l’un des murs, dans un angle, il y a une sorte de sellette avec un sexe artificiel qui émerge de son centre... alors que dans un autre, il y a un fauteuil de gynécologue... Sur une étagère il y a tout un tas de sexes factices, des flacons... et au sol un vaste matelas couvert de velours pourpre. Bref, tout un arsenal coquin mais aussi fait pour la souffrance !
Devant mes yeux ébahis, Annie me rassure :
— Nous n’aurons pas besoin de tout cela ! Habituellement c’est le salon des sadomasos... Mais il n’y a personne ce soir ! Je suis pour le plaisir mais pas pour la jouissance dans la douleur !
— Vous me rassurez !
— Nous avons juste besoin d’être un peu à l’écart des autres... même s’il nous arrive de nous mélanger avec eux ! Et puis, tu es nouvelle, nous avons envie... de te goûter !
Après ces quelques paroles, Annie se penche vers ma poitrine, empaume le sein gauche et prend le téton du droit entre ses lèvres.
Jean-Marc passe derrière sa femme et lui ôte son dernier vêtement... Elle a le pubis entièrement rasé sauf une fine ligne de poils qui descend du nombril au capuchon de clitoris...
Puis il défait son ...