Clarisse, maman au foyer
Datte: 15/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... présenter et s’excuser. » Je devins autoritaire avec ma tante. « Il en faudrait peu pour que je vous fesse toutes les deux comme des malpropres. Surtout toi, ma tante. Tu ne sais même pas éduquer une soumise. C’est vrai que pourrie comme tu l’es par grand-père, l’oisiveté ne t’aide pas ! Et puis, pour dominer une personne, il ne faut pas seulement agiter des liasses de gros billets, c’est dans la tête et le corps que ça se passe. Mais pour ça, ma très chère tante, encore faut-il en avoir une et avec une cervelle, ce qui est très loin d’être ton cas. Pour moi, tu n’es rien de plus que ramassis de méchanceté, de jalousie. Viens Clarisse, on y va. »
Elle ne sut que répondre. Je pris la laisse de ma douce compagne et continue notre promenade en sa compagnie sans me retourner. Derrière moi, le bruit d’une paire de gifle ne me fait même pas tourner la tête. Isabelle, la jolie tantine, doit être terriblement vexée de me voir si impassible. Elle nous rejoint, trainant ma cousine Karine derrière elle. Je m’arrêtais net quand elle me parla de faire une partie de jambes en l’air, tous les deux.
« Déjà, je ne parle pas à des femmes qui se la pètent, qui se prenne pour une autre. Secundo, une femme qui domine n’a pas à se comporter comme une pute, c’est juste qu’elle manque de caractère. Tu imites les autres, tu n’es pas toi quand tu gifle ta nièce, ma cousine. En fait, je la verrai bien de punir et te dominer. » Je pris mon temps pour voir sa réaction. Et, comme à mon habitude, ...
... j’enfonçais le clou. « Tu vois, avec elle, je n’ai pas cherché, elle ne m’a pas cherché, on s’est juste trouvé à cause de ce petit accident domestique. Par contre, pour toi, je suppose que le simple fait de l’abriter chez toi pendant qu’elle étudie fait de toi sa Maîtresse ? Mouais, à voir ta gueule de pute, j’ai vu juste. Karine, si tu te cherches une autre Maîtresse digne de ce nom, ou une Maître, ce n’est pas avec une soumise comme ta tante que tu vas trouver ton bonheur, bonne nuit et joyeux noël ! »
On est rentré se coucher. Dans mon lit, je presse le corps d’Clarisse contre moi. Elle replie ses jambes, mon pénis s’insinue entre ses cuisses, bien en profondeur.
Au matin, Clarisse aide ma mère pour le déjeuner des enfants. La petite me vit et nous cria : « Papa ! » en me montrant du doigt. Je reste interdit, ne sachant comment prendre cela. Enfin, revenu de ma surprise, je la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement. Ma mère ne trouve rien de mieux que de pleurer, mais de joie. Je suis aussi ému qu’elle, mais pas autant que la maman de ce petit garçon adorable. Du coup, je suis allé prendre la fille de ma compagne. Je la lève, la change et l’habille en jouant avec elle, sous les regards d’Clarisse et de ma mère encore plus émue.
On reste encore pour le nouvel an, qu’on fête en famille, toute la famille. Je peux en profiter pour me moquer à pleine brouette de ma tante, la rabrouer, la rabaisser et, sans le vouloir, ni même remarquer de l’inversion des rôles. Avant ...