Laura et les voisins
Datte: 16/08/2020,
Catégories:
f,
fh,
jeunes,
inconnu,
voisins,
copains,
vacances,
plage,
cérébral,
revede,
odeurs,
préservati,
jeu,
init,
prememois,
Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... partageait quand même. Sûrement pas toujours avec la même fille.
Nicolas, un de ses amis, a eu sa maîtrise, lui aussi. Un mufle, Nicolas. Tout sucre et tout miel avant, infect après. Et dire que j’ai cru être amoureuse de ce type ! Pour ce que ça m’a rapporté de m’être donnée à lui, comme on lit dans les romans, juste avant les vacances ! Le cœur qui bat un plus vite, un peu de sang sur un mouchoir de papier. Heureusement, même pas mal, comme disent les enfants. Mais même pas bien non plus. Vite fait mal fait. Un papillon voletait dans le buisson d’aubépine.Aube et pine. Il était fier de son jeu de mots à la con. Surtout qu’il était bien quatre heures de l’après-midi !
— La prochaine fois, on fera ça dans ma chambre, on sera mieux.
— Il n’y aura pas de prochaine fois.
Parmi les camarades du lycée, Jérémy s’est inscrit, lui aussi, à la fac de droit. Bof, Jérémy… Vincent également. Et Mélanie, si timide, sûrement encore pucelle. Ce sera peut-être amusant de la voir se dévergonder, celle-là, qui vient s’installer à ma droite dans l’amphi dès le premier jour et qui recommence chaque fois qu’elle le peut. De l’autre côté, c’est généralement un garçon. Souvent Vincent, qui prend beaucoup de notes. Moi peu : tout est dans les manuels. Mélanie est toujours prête à me rendre service. Elle me parle à voix presque basse, elle est humble et douce. Elle veut bosser avec moi à la bibliothèque. Elle soupire souvent, elle a des yeux de chien battu. Quelques garçons s’étaient ...
... intéressés à elle, l’année précédente. Elle les avait rembarrés.
Le premier cours de droit romain m’ennuie déjà à mourir. Je rêve, dans le vieil amphi. Des banquettes. On est si nombreux en première année qu’on ne dispose que de peu de place. Les hanches se touchent aisément. Des panneaux de bois devant nos jambes. Le prof ne verrait pas quelqu’un d’accroupi. Ni même quelqu’un qui serait allongé sur nos cuisses, on est tout en haut.
Ma tête sur les genoux de Vincent. Ce grand bond aux yeux clairs serait à côté de lui, ses cuisses sous mes épaules. Une fille ensuite mais il y aurait bien un garçon pour servir de coussin à mes fesses. Jérémy, pourquoi pas ? Vincent me caresse doucement la joue, passe un doigt sur mes lèvres. Sous ma nuque se gonfle son pénis. Le grand blond - je sais qu’il se prénomme Frédéric mais chacun dit Fred, ou Freddy - le grand blond a déboutonné mon chemisier, agacé les pointes de mes seins sous le léger soutien-gorge presque transparent, puis glissé ses doigts dessous. Il ferait mieux de le détacher. Je me soulève un peu, il passe ses mains, en profite pour mettre à l’aise son pénis trop à l’étroit dans son slip. Plus bas, c’est Mélanie. À côté d’elle, un type fourrage sous ma petite culotte. Ou Jérémy ? Non, il n’ose pas, il est peut-être amoureux de moi mais il ne m’intéresse pas. Vincent prend ma tête à deux mains, la déplace doucement pour qu’elle repose sur ses genoux et non plus sur ses cuisses. Le voilà qui peut alors ouvrir sa braguette pour ...