Laura et les voisins
Datte: 16/08/2020,
Catégories:
f,
fh,
jeunes,
inconnu,
voisins,
copains,
vacances,
plage,
cérébral,
revede,
odeurs,
préservati,
jeu,
init,
prememois,
Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... Qu’est-ce qu’il attendait pour s’approcher, pour me prendre dans ses bras ? Je me suis regardée dans le miroir de l’armoire de toilette.Ma vieille, le moment de vérité approche. On va voir si tu es capable de faire l’amour… non, de baiser avec un garçon qui est mignon mais que tu n’aimes pas.
Il s’est mis derrière moi, tout contre. J’ai senti, entre mes fesses, se gonfler encore son pénis. Il a posé les mains sur mes seins puis, de ses paumes ouvertes, en a frôlé les pointes. Elles se sont dilatées en quelques instants et j’ai pensé que mon vagin se mettait à couler.
Il a remonté les mains sur mes épaules, m’a retournée et sa bouche s’est posée sur mon sein plus du tout endolori. Ses cheveux étaient encore mouillés. J’ai cru bien faire en y passant la main, pour une douce caresse. Je voulais tant qu’il soit gentil.
— Pas besoin de pommade, hein ?
Il m’a tirée derrière lui. La fenêtre de sa chambre était ouverte et donnait sur la plage. Quelques cris d’enfants nous parvenaient, et des rires aussi. Il m’a placée contre le lit, m’a poussée, d’abord pour m’y asseoir et ensuite pour m’y allonger. Il aurait pu m’embrasser d’abord, quand même. Enfin, tant pis, il pouvait bien faire de moi ce qu’il voulait, à condition qu’il mette une capote.
Il en a pris une dans le tiroir de son chevet et il en a déchiré l’enveloppe. J’aimais autant qu’il en ait l’habitude, il n’allait pas me rater, au moins, celui-là.
Eh bien si, il m’a ratée. Il lui a suffi de quelques ...
... va-et-vient mécaniques, de quelques grognements, de quelques paroles débiles, du genre :
— Tu mouillais, hein ? T’en avais envie de ma grosse queue, hein ?
Seshein ? comme deshan ! de bûcheron.
— Un chienne en chaleur, voilà ce que tu es. Une salope.
— Dégage !
— Hein ?
— Dégage, je te dis, pauvre con !
Son air effaré, tout à coup ! Il croyait peut-être me faire plaisir en m’insultant. Il n’avait jamais dû baiser qu’avec des pouffiasses. Je l’ai poussé de toutes mes forces, il a roulé sur le côté, sorti de moi en vitesse. Facile : il ne bandait presque plus. J’ai failli oublier de prendre mon slip de bain, tellement j’étais furieuse. Pas le temps d’attendre l’ascenseur : les escaliers quatre à quatre. Dehors j’ai respiré un bon coup. Le soleil tapait comme un sourd. Si quelqu’un s’était mis en travers de ma route, je l’aurais foutu par terre.
D’autres jeunes jouaient au volley. Le haut de mon bikini m’attendait sur le sable, contre le poteau soutenant le filet. Je l’ai mis. Un peu de sable y était entré et m’a gratté les tétons. Ma mère se prélassait en bavardant avec un couple d’amis, celui dont le mâle me reluquait avec une convoitise non dissimulée chaque fois qu’il me voyait. Vieux cochon !
— Ah, te voilà, Laura ! Où étais-tu donc passée ?
— Je me suis un peu baladée sur la plage.
— Tu as chaud, tu es toute rouge ! Tu as couru ?
— Tu feras bien attention, hein ? Tu rentreras pas trop tard ? Celui qui conduit ne boira pas, au moins ?
— Sois tranquille, ...