1. Détente


    Datte: 16/08/2020, Catégories: fh, inconnu, sauna, gymnastiqu, ascenseur, massage, Auteur: Ellecoucou, Source: Revebebe

    ... répondis-je en lui adressant mon plus beau sourire.
    — Tu sembles surestimer tes forces.
    
    Vite, j’abandonne en jouant à la petite chose fragile…
    
    — Heu oui, j’ai pas assez de muscles aux bras.
    — Tu as bientôt fini, moi je vais me détendre au sauna, me lance-t-il.
    
    Vite debout, moi aussi, j’en ai assez pour aujourd’hui et une chaleur sèche me fera du bien. Je le suis. C’est en arrivant devant la cabine que je m’aperçois qu’hier je me suis trompée, j’étais dans le quartier des hommes et ils sont nus dans le sauna. Honte pour moi… Je bafouille. Il rit à pleines dents.
    
    — Je fus le plus heureux des hommes, me crie-t-il pendant que je m’enfuis.
    
    Je me douche en vitesse et sors de la salle quelques minutes plus tard. Il était déjà sur le pas de la porte à m’attendre.
    
    — Viens, continuons ce que nous avons si bien commencé hier soir.
    
    Et me prenant la main, il m’entraîne dans la rue.
    
    — J’habite juste à côté.
    
    L’immeuble est tout proche. Il avance vite. Nous ne nous disons rien, juste nos mains qui se serrent fort. L’ascenseur arrive. S’engouffrer dedans, attendre que les portes se ferment. Et nos bouches, et nos langues qui se retrouvent. Humm que c’est bon. Et son corps qui s’appuie contre le mien, ses mains qui me pétrissent les seins. Il me soulève, m’embrasse avec avidité. Oh ! Fondre, fondre de bonheur.
    
    — Je te veux là, me souffle-t-il.
    
    Sa main bloque l’ascenseur, il me retourne, me saisit les hanches. Je plie sous son attente, lui montre mes fesses, ...
    ... mon petit cul. Oh oui, qu’il me prenne vite vite, qu’il me fourre, me bute, me baise, me donne de grands coups de reins. Me fasse jouir debout, mes mains appuyées contre la paroi. Que son sexe m’emporte, me fasse oublier le temps, le lieu. Oh que j’aime être prise sauvagement, sentir le désir du mâle en rut, sa queue dure, dure tendue, gorgée de désir pour moi. Oh oui, que c’est bon !!!
    
    Oh que ce fut bon ! Reprendre ses esprits, se rhabiller en vitesse. Rire aux éclats. Remettre de l’ordre à nos vêtements et appuyer sur le bouton de l’ascenseur pour qu’il se mette en marche.
    
    Stephen habite au 4e étage d’un immeuble ancien, construit dans les années 30. Sur le palier attendait une dame âgée.
    
    — Bonjour, lui disons-nous en cœur.
    
    Elle bougonne, vraiment pas contente.
    
    — Il est souvent en panne, il faut que l’on porte réclamation.
    — Je vais m’en charger, lui répondit mon compagnon.
    
    En même temps, il me fait un clin d’œil.
    
    — Bonne soirée madame.
    
    L’entrée étroite de son logement donne sur un grand séjour, meublé avec goût, style contemporain mais chaleureux. Homme raffiné. Bon point pour lui. Sur la table du salon, un magazine ouvert en double page sur un reportage en Afrique et un vase baroque. Un beau ficus près de la fenêtre semble apprécier la clarté, il est très dru, son propriétaire doit bien s’occuper de lui.
    
    — Tu veux un petit remontant - Alcool ou sans ?
    — Une larme, lui répondis-je. Noyé dans beaucoup de jus de fruit si tu as.
    — Bien sûr que ...