1. Elodie chérie (5)


    Datte: 16/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yphos, Source: Xstory

    ... qu’elle s’est parfaitement lubrifiée. Elle avait déjà quelque chose en tête et l’idée n’est pas pour me déplaire.
    
    Je la sodomise à un, puis deux doigts, sans difficulté, lentement, profondément, et elle s’abandonne totalement en lançant de temps en temps des « oh, monsieur !», « Mon papa va être très fâché, il va me fouetter, c’est sûr ! »
    
    - Je crois que tu le mérites petite garce ! Lèves toi et prends appui sur la table, retrousse bien ta jupe. Comme ça, c’est bien !
    
    Je vais chercher le martinet et abat le premier coup, puis me mets à lui cingler les fesses.
    
    « Monsieur, faites comme mon papa, tapez plus fort si vous voulez ! »
    
    Je découvre un plaisir sadique à la flageller, mais elle, encore plus de plaisir à recevoir mes coups. A chaque claquement, elle soupire dans un mélange de douleur et d’extase.
    
    A la vue des zébrures rouges de son postérieur, je m’interromps et lui réajuste la culotte et la jupe.
    
    Elle semble déçue de ne plus être martyrisée. Je tire sur la laisse pour qu’elle se redresse. Des larmes perlent dans ses yeux, je regrette un peu d’avoir tapé si fort.
    
    Elle prend ma main et la pose sur son sein et me dit :
    
    « Papa aime bien faire ça après m’avoir puni, mais des fois c’est ses amis ! »
    
    Oh là là, elle est en plein délire ! En tout cas, je plonge dans ses phantasmes et me mets à la peloter et ma trique repart de plus belle. Je suis collé à son sillon fessier et lui mordille le cou.
    
    « Mon papa, aussi, il aime se mettre derrière moi ...
    ... ! »
    
    « Et qu’est ce qu’il fait après »
    
    « Il se met tout nu et met son zizi dans mon derrière »
    
    « Tu aimes ça ? Son zizi dans ton derrière ? »
    
    « Maintenant, j’aime bien quand il fait ça ! »
    
    Une telle invitation ne se refuse pas, En quelques secondes je suis nu et pointe déjà mon dard entre ses jambes ouvertes. Elle prend à nouveau appui sur la table et m’attend.
    
    Je pointe sa corolle et pousse. Elle sursaute, se contracte, puis se détend. J’entame une lente progression dans ses profondeurs alors qu’elle se crispe à nouveau.
    
    « Oh monsieur, votre zizi est plus gros que celui de mon papa ! »
    
    Trop appliqué à la tâche, je ne réponds pas. En effet, c’est la première fois que je pratique la sodomie. Mon épouse, Maria, s’y est toujours opposée. Et les rares expériences féminines que j’avais pu avoir auparavant, n’avaient pas eu plus de succès.
    
    J’entame un long va et vient, tout en progressant de plus en plus profondément. Je lui saisis une hanche d’une main et de l’autre lui soutiens la poitrine avant de la décoller du sol d’un grand coup de rein. Je la supporte, mais elle est totalement empalée, les pieds ne touchant plus le sol.
    
    « Oh monsieur, comme vous allez loin dans mon ventre ! »
    
    .
    
    Je la porte péniblement jusqu’au canapé ou je m’assieds, sans jamais sortir d’elle qui me tourne le dos. Je reprends ma séance de pelotage et c’est elle qui monte et descend pour se sodomiser.
    
    « Tu fais ça avec ton papa ? »
    
    « Oui, et aussi avec ses amis, à tour ...