Quelques souvenirs d'expériences de dogging
Datte: 16/08/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Hardcore,
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... fellations. Leurs âges sont très variés. J’ai 42 ans et une préférence pour les plus jeunes que moi, mais j’avoue prendre aussi du plaisir à me faire sucer la bite par des femmes bien mûres.
Je me souviens d’une Brigitte qui avait dans les 55 ans. Elle suçait par la vitre d’une BMW noire et son mari l’observait en se branlant. Elle avait de gros nichons qui portaient la marque d’un soutien-gorge et qui pendaient sur son ventre. Tout en me faisant sucer, j’adorais les prendre dans ma main et les soupeser. Brigitte avait la chatte poilue, bien fournie. Je la tripotais aussi. Elle avait un assez gros cul, qui portait lui aussi les marques blanches d’un maillot, mais elle se contentait de se le faire bouffer en le posant au bord de la portière. Pas de pénétration avec elle. On pouvait seulement cramponner ses fesses, lécher ce qu’on voulait, enfoncer nos doigts et éjaculer sur son anus et dans les poils de sa grosse chatte.
L’âge des hommes varie également. Je ne suis pas le plus jeune, ni le plus âgé, loin de là. Des hommes à la retraite se rendent souvent sur des lieux de dogging, mais on rencontre aussi des mecs de 20 ou 25 ans.
Brigitte raffolait des jeunes, je me souviens, sans reculer pour autant au-devant de la queue d’un homme de 60 ou 70 ans.
De même, je me rappelle d’une petite blonde qui n’avait pas 30 ans, qui s’appelait Léa. Son mec avait à peu près le même âge et n’intervenait pas, il la regardait faire. Elle avait de tout petits seins pointus et un ...
... magnifique cul bien blanc. Elle faisait partie des femmes qui se faisaient pénétrer, et je ne sais pas combien de fois j’ai enfilé Léa, même si sa préférence à elle se portait sur les hommes âgés. C’était son truc, elle le disait clairement.
J’ignore combien de vieux ont ainsi pénétré la chatte de Léa, mais elle et son mec fréquentaient plusieurs endroits différents. Elle faisait aussi partie des femmes qui embrassaient des inconnus sur la bouche avec la langue, tout en se faisant toucher les seins ou la chatte. Elle s’épilait au maillot et coupait ses poils très courts. J’adorais éjaculer dessus après avoir roulé une grosse pelle baveuse à Léa.
Il arrivait que des femmes sortent de leur voiture. C’était notamment le cas de Sandrine. Elle avait à peu près 40 ans. A poil et accroupie, elle suçait les queues des hommes qui l’entouraient, chacun leur tour, tandis que des mains malaxaient ses nichons et que des doigts s’enfonçaient dans son anus sous les yeux de son mari resté dans la voiture.
Sandrine ne se faisait pas pénétrer. Son truc, c’était les pipes et les giclées de sperme sur le visage et sur les seins. Je l’aurais pourtant bien baisée, cette salope. Et si j’emploie ce mot, « salope », c’est parce qu’elle aimait qu’on l’insulte. Son mari aimait ça aussi. Il ne se gênait pas pour injurier Sandrine pendant qu’un gland expulsait sa sauce blanche sur sa langue à l’extérieur de la voiture. Salope, putain, putasse.
Il y avait un petit hôtel abandonné, aux abords d’une ...