1. COLLECTION HOMME FEMME. Les hommes préfèrent les grosses (1/1)


    Datte: 15/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... viens de faire ton rôt de satisfaction, tu as déjà craqué ?
    
    Moi aussi je suis passe par là, on m’appelait bouboule, 1,80 pour 102 kilos, mon cœur était entouré de graisses.
    
    On me prédisait un joli infarctus.
    
    Regarde, deux ans, toujours 1,80 mais 76 kilos, je cours simplement pour m’entretenir, je ne cherche plus à perdre un gramme.
    
    Demain matin, c’est lundi, ta boutique est fermée.
    
    7 heures en tenue à l’entrée du parc.
    
    Je prends mon travail à la mairie à 9 heures, je suis chargé de problèmes sociaux, principalement de logement.
    
    - Comment sais-tu que j’ai une boutique de chaussures ?
    
    - Je t’ai vu derrière ta vitrine, à vendre tes chaussures.
    
    J’y suis même allé avec une copine et tu l’as servi, j’avais honte pour toi, tu avais du mal à te baisser.
    
    - C’était ta fiancée ?
    
    - Surtout pas, les filles depuis que j’ai retrouvé mes abdos, j’en change régulièrement.
    
    - Je suis sûr que tu ne t’intéresseras jamais à moi.
    
    - Des hommes aiment les grosses.
    
    - Pourquoi pas les obèses pendant que tu y es !
    
    - Je dois reconnaître que lorsque j’étais gros, je regardais les grosses persuadés que les autres me diraient non.
    
    - Je vais te prouver que je me souviens de ces moments-là, après la course demain, je t’invite à venir manger une salade chez moi, j’habite à deux pas du parc.
    
    Premier rancard de ma vie et par un beau garçon.
    
    Le lendemain je suis à l’heure, même en avance.
    
    Je fais celle qui s’étire quand il arrive.
    
    Bien sûr, j’ai mis mes ...
    ... lunettes qui me donnent un joli visage.
    
    - Tu t’y prends mal, à t’étirer comme tu le fais, c’est la tendinite assurée.
    
    Regarde, suis-moi.
    
    Je souffre, mais quand je vois sa souplesse, je suis bien contente de l’avoir rencontré.
    
    Nous nous mettons à courir.
    
    Ne faibli pas, ne t’arrête pas.
    
    - Aie.
    
    Ma cheville à céder je me vautre lamentablement.
    
    - Attends, relève-toi, appuie-toi sur moi.
    
    Je sais où tu travailles, je vais te reconduire chez toi.
    
    Appuyé sur son épaule, à cloche pied, il me ramène et par chance il y a un ascenseur.
    
    Il me conduit sur mon canapé.
    
    - Je vais appeler mon travail, j’ai des heures à rattraper.
    
    Me retirant ma chaussure, il me met de la pommade que j’avais dans mon armoire de pharmacie.
    
    Il me soigne me faisant divinement l’amour en prime.
    
    Tout le reste de la journée et même si j’ai mal quand il m’a dépucelé, il me baise.
    
    J’aime quand il me prend en levrette.
    
    Il s’accroche à mes seins les tirants fortement à me faire hurler.
    
    Que dire, quelques jours après où il m’a pris mon pucelage mon pied va mieux ?
    
    Il m’a sodomisé derrière la porte d’entrée de mon appartement.
    
    Dès le premier jour entre mon congèle et mon frigo il nous a confectionné des pâtes bolognaises.
    
    Le lendemain des pâtes à la carbonara après avoir été un peu travaillé.
    
    J’ai retrouvé mes choucroutes et mes petits crocodiles que nous déchirons à pleines dents.
    
    Je le prends par la queue, le crocodile mais la sienne aussi et il prend la ...