TEMPS PARTIEL
Datte: 15/08/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... temps, et celui de mon mari pour les prochaines semaines, puis j'ai appelé l'agence pour les informer de mes disponibilités.
Il ne m'a pas fallu longtemps avant de recevoir deux ou trois hommes par semaine. C'était plutôt facile et parfois même très agréable.
Je commençais à attendre le suivant avec la hâte de découvrir un nouveau pénis en érection et je m'émerveillais de la diversité.
Je ne me doutais pas qu'il pouvait y avoir autant de variantes de longueur, de grosseur, de forme, de couleur, et même les peine-à-jouir qu'il fallait câliner longtemps m'attendrissaient.
Par contre, je ressentais peu différence pendant l'acte. La sensation merveilleuse que me procurait une bite dans ma chatte éloignait une fois de plus la sécheresse dont j'avais souffert devant l'indifférence de mon mari.
Et c'était un plaisir supplémentaire de savoir qu'il n'en avait aucune idée.
Ma nouvelle activité me permettait de conserver l’image de la ménagère de banlieue.
Je continuais mes visites matinales au café pour blaguer avec les autres filles.
La fréquentation était variable, mais je voyais souvent Cathy, la fille qui m'avait parlé la première du service d'escorte.
Elle a dû remarquer une différence en moi car, lorsque nous nous sommes séparées, elle m'a retenue pour me demander si j'avais suivi ses conseils. Mon sourire lui a donné la réponse.
J'ai avoué que j'étais très satisfaite et que mon seul problème était dû à ma nouvelle richesse.
Comment expliquer ...
... cela à mon mari s'il venait à le découvrir.
Elle a ri m'a conseillé d'ouvrir un compte "discret" dans une autre banque.
Son "histoire" n'était pas très différente des autres femmes qui se livraient à la prostitution occasionnelle soit pour des raisons financières, soit pour se libérer du joug d'un homme trop indifférent. J'ai dit "amen" à tout cela.
Cathy était une femme séduisante dans la trentaine qui avait eu une vie sociale (sexuelle) active dans sa jeunesse.
Elle était très énergique et, diplôme en poche, le premier emploi qu'elle avait trouvé était celui d'assistante d'un homme très riche.
Cet homme étant célibataire, cela ne lui avait pas pris trop de temps pour le faire tomber dans ses filets.
Au vu de l'importante différence d'âge, c'était pour elle beaucoup plus un mariage d'affaire qu'un mariage d'amour.
Pour son mari, c'était une "potiche", elle se devait d'avoir une attitude convenable lorsqu'il l’exhibait comme un trophée lors de réunions professionnelles ou privées. Elle avait une vie oisive très confortable, son seul problème étant le désintérêt de son mari envers le "devoir conjugal". Ses activités extra-conjugales secrètes lui permettaient de compenser ce manque affectif.
"Cela me semble familier!" répondis-je.
Cathy m'a dit qu'elle se délectait de cette situation, que la prostitution occasionnelle lui procurait une sensation de pouvoir, à la fois sur les hommes qui recherchaient sa compagnie et sur son mari qui la privait de liberté, ...