L'invasion Ch. 07
Datte: 14/08/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... expliqué à l'époque qu'avec le nombre d'habitants qui quittaient l'île et les touristes qui ne venaient plus, le pont n'était pas du tout rentable, et il fallait continuer à venir sur l'île en bateau. Avant, il y avait aussi un petit ferry pour les voitures, mais ce dernier avait d'abord espacé ses voyages quotidiens, c'était devenu hebdomadaire, et ensuite à la demande. Lorsque nous allions à terre, par exemple pour les examens, nous prenions un des bateaux de l'île qui faisait la liaison. Il y avait également de petits cargos qui venaient livrer les marchandises et prenaient livraison de ce qui était produit sur l'île pour le continent. Les anciennes lignes ne venaient plus non plus, elles avaient été remplacées par des sociétés appartenant à l'une de ces nouvelles habitantes. Elles semblaient vraiment vouloir tout changer et faire les choses à leur manière.
— A quelle plage veux-tu aller? Je ne connais pas moi.
— Moi, je connais très bien tous les recoins de l'île. C'est le seul endroit que je connais, mais je le connais bien.
— Tu as souvent fait des tours?
— Oui, Nathalie me laisse aller partout, il n'y a pas de danger, j'aime rouler à vélo. J'aurais voulu avoir une petite moto, mais Nathalie m'a dit qu'elle n'a pas pu avoir l'autorisation d'en faire venir une sur l'île.
— Le vélo c'est mieux. Alors? Ou allons-nous?
— A la pointe nord. C'est le plus sauvage, personne n'y va.
Je lui indique le chemin. Je dois souvent me mettre à genoux sur le siège ...
... pour voir la route. Au delà de notre petit village, il existe encore quelques fermes et puis c'est plus sauvage, des bois et des prairies, parfois des champs. Le chemin de terre nous mène à destination. C'est un endroit où il y a beaucoup de vent. Après les rochers et les falaises, je lui indique l'endroit où arrêter la voiture. Je sors et respire l'air fortement iodé de ce coin, un air qu'on ne respire qu'ici. Avec nostalgie, je me rappelle de nos jeux il y a quelques années. Maintenant, plus personne ne vient.
— Prends les sacs, me dit Ayesha. Où allons-nous?
Je lui indique le sentier pour continuer à pied. Arrivés à la falaise, nous descendons par le petit chemin jusqu'à la plage. C'est d'abord une belle crique qui se trouve à l'abri du vent. L'eau y est très claire, et le sable est d'un blanc presque immaculé. Je me rappelle en touchant le sable si doux toutes nos journées ici. Et plus loin les cavernes et le passage vers les longues plages couvertes de sable plus courant. La mer arrive doucement sur le sable, c'est marée haute mais contrairement aux autres endroits de l'île, la différence de marées est pratiquement imperceptible, uniquement dans cette crique. Au bout de la crique vers la mer, c'est presque fermé. Un jour, j'avais plongé et nagé, j'avais remarqué que la crique était pratiquement fermée. A marée haute, l'eau passait par-dessus les rochers, mais à marée basse, ces rochers gardaient l'eau de la crique. Ayesha avise un endroit juste au milieu.
— Tu as ...