1. L'étudiante (5/5)


    Datte: 14/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: BAGOU, Source: Hds

    ... lente vers mon bas-ventre. Ma virilité qui n’avait rien perdu de sa vigueur sursauta comme sous une décharge électrique. Je la laissai m’embrasser tant et plus jusqu’à ce qu’elle atteignît le pubis, où mon pénis avait élu domicile tout en raideur, le gland rosi par l’afflux de sang qui le maintenait en érection. Elle y porta la main pour le soulever et venir poser ses lèvres sur la peau étirée de mon bas-ventre. Les yeux mi-clos, elle continua de m’embrasser ainsi sans oser porter les lèvres à ce phallus turgescent qui n’attendait que de recevoir le cadeau d’un baiser.
    
    Je pris alors sa tête de mes deux mains et la retournai, face à ma virilité tout en lui disant : tu peux l’embrasser tu sais, il est tout propre et plein d’envie. Rends-moi le plaisir que je t’ai donné ! Hésitante, elle finit par y déposer un baiser en levant à peine la tête de mon pubis puis se laissa retomber, toute rouge de honte à ce que je pus en juger. Je me relevais alors en posant délicatement sa tête sur le lit et, me positionnant au-dessus d’elle, le pénis à hauteur de ses lèvres, je me laissai choir sur elle. Elle ne se déroba pas, confiante en moi sans doute plus qu’elle n’était craintive. Je pris ensuite mon pénis d’une main et tout en me soulevant, je le frottai contre ses lèvres closes, puis contre ses joues, ses yeux, son front. Elle ne se déroba pas davantage, travaillée par le besoin de vivre son premier amour avec l’intensité du désir qu’elle ressentait.
    
    Elle restait pourtant inactive ...
    ... et je dus forcer quelque peu ma pression sur sa tête pour la faire réagir. Elle desserra enfin les lèvres au passage de mon pénis et les appliqua sur la colonne de chair. Je stoppai mes mouvements et appuyai un peu plus pour lui faire ouvrir davantage la bouche, ce qu’elle fit. Est-ce de ressentir le plaisir la submerger qui la fit se détendre, ou est-ce le souci de ne pas paraître rétive à mon plaisir ? Toujours est-il qu’elle ouvrit enfin la bouche et que je pus faire coulisser mon membre en faisant monter et descendre délicatement mon bassin sur sa frimousse. Profitant de l’effet que produisait sur elle ce mouvement érotique qui lui fit ouvrir la bouche un peu plus à chaque passage de mon pénis, je me soulevai légèrement et introduisis le gland dans ce fourreau humide. Elle eut un mouvement de rejet que je calmai d’un simple chut.
    
    Je restai immobile et elle ne bougea pas. Lèvres reformées en corolle autour de mon membre, elle attendait. Je lui caressai la joue d’une main, le pouce posé à la commissure des lèvres que je massai imperceptiblement comme pour lui signifier de les ouvrir davantage. Puis je me relevai de quelques centimètres et enfonçait un peu plus mon gland dans sa bouche. Sa langue vint se plaquer par-dessous contre la partie immergée de mon pénis que je pus faire coulisser tout en délicatesse. S’adaptant à ce jeu érotique elle ouvrait et refermait ses lèvres en cadence et moi d’enfoncer un peu plus chaque fois mon pénis entre ses lèvres. N’y tenant plus à ...