La petite robe rouge - 5 - Histoires de Sexe

La petite robe rouge - 5

... ses couilles qui viennent battre contre elle. Elle jouit à nouveau.

Igor se retire.

— Viens, Marie. La pierre risque d’abîmer ta jolie peau. On sera mieux dans la cabane pour continuer.
— Oui.
— Tu viens, Jack ?

Igor passe la main autour de la taille de la jeune femme et l’emmène calmement vers le fond de la cabane. Il y a une petite pièce avec un simple matelas. Avant de l’entraîner sur le lit, Igor embrasse Marie debout. Elle sent Jack qui vient se coller contre son dos, l’embrassant dans le cou. Les deux hommes basculent avec elle sur le matelas. Son corps est parcouru par quatre mains indiscrètes. Quatre mains qui veulent l’exciter encore plus. Quatre mains appartenant à deux vieux mâles qui savent très bien ce qu’ils veulent obtenir de cette jeune femelle.

Marie se tord de plaisir sous les caresses. Elle réclame leurs sexes mais ils les lui refusent. Elle revit le délicieux supplice que Jack lui avait infligé lors de leur première visite sur l’île. Elle est prête à tout pour se faire prendre, même à accepter les caresses les plus osées, comme les doigts d’Igor dans son anus.

Igor s’allonge enfin sur le dos et tient son sexe dressé. Il n’a pas besoin de parler. Marie est tellement excitée qu’elle vient se planter sur ce pieu qui s’offre à elle. Jack s’est mis à genoux et l’oblige à rester à la verticale en ne bougeant que son bassin. Il empaume ses seins et les « martyrise » comme elle aime. L’orgasme est là, à nouveau, violent.

Jack la pousse vers ...

... l’avant. Igor l’enserre de ses bras. Elle a à peine le temps de se remettre de son orgasme qu’elle sent les doigts de Jack qui écartent ses fesses.

— Non Jack, pas ça. Après, si tu veux.
— Laisse-toi faire : tu vas aimer.
— Non, je veux pas. Pas en même temps.
— Mais si, Jack, fais-toi plaisir. En plus, je suis sûr qu’elle n’attend que ça, cette salope.
— Non, laissez-moi ! Pas ça, je vous dis.
— …
— Nooon…

Les deux hommes ne l’écoutent plus. Marie se débat. Mais Igor la maintient fermement. Le gland de Jack vient déjà de franchir son anneau qui avait été préparé. Elle crie, se tord, mais les deux hommes sont plus forts.

Deux sexes sont plantés en elle. Les deux hommes n’en sont sans doute pas à leur première « victime ». Ils coordonnent leurs mouvements. Marie ne crie plus. Ou alors ses cris ne sont plus les mêmes. Ce ne sont plus des cris de protestation mais des cris de plaisir, des gémissements rauques. Jamais elle n’aurait pensé faire ce qu’elle fait, et surtout jamais elle n’aurait pensé… aimer ça.

En sueur, coincée entre les deux hommes, Marie ondule à la recherche du plaisir. Elle jouit et jouit encore avant que les deux hommes ne se libèrent en elle et la laissent épuisée, nue sur le lit, endormie.

Dehors, Igor et Jack ont repris leur conversation.

— Alors, elle a du tempérament, non ?
— Oui. Le ramage vaut le plumage. Tu as bien fait de l’inviter.
— Tu as décidé ?
— Pas tout à fait ; mais il y a 9 chances sur 10 que je l’emmène. Je vais la ...