1. La rentrée


    Datte: 14/08/2020, Catégories: fh, ff, fff, fbi, copains, profélève, uniforme, grossexe, fépilée, école, fsoumise, fdomine, noculotte, vidéox, rasage, Oral fgode, fdanus, jouet, fouetfesse, délire, initiatiq, f+prof, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... ton uniforme.
    
    Je suis décalquée ; comment fait-elle pour être aussi en forme aussi tôt ? Quelle heure est-il d’ailleurs ? Six heures ?
    
    — Allez, il est presque huit heures ; t’auras pas le temps de petit-déjeuner si tu te dépêches pas.
    — Dis-moi, hier soir…
    — Pas le temps de causer, on verra ce midi. Lève-toi !
    
    Debout, douche, fringues, c’est parti. Estelle me mène au dressing et part déjeuner.
    
    — Rejoins-moi quand tu auras fini.
    
    C’est vrai que c’est grand. Non : immense. On se croirait dans une bibliothèque, mais avec des étagères remplies de vêtements. Des culottes, des soutifs, des robes, des jupes, des hauts de toutes sortes, des chaussures, des bottes… Toutes les tailles. Ah, et voilà les uniformes. Pas le temps de traîner. Jupe, OK. Chaussettes, OK. Chemise blanche : j’ai l’impression d’avoir les nichons d’une pornstar, mais OK.
    
    Cravate, OK. Culotte : je prends de tout. Soutif : classique, push-up ; tiens, avec un cache-tétons amovible. Pourquoi pas ? Et voilà, c’est plié.
    
    Je prends le temps de faire le tour du dressing, il me reste encore un peu de temps. Au fond, une porte, ouverte. Sur l’encadrement de la porte, écrit en rouge : « Réservé aux deuxième année ». J’entre ? Je n’entre pas ? J’entre ! Allez… Je n’ai vu personne entrer depuis mon arrivée, tout le monde doit se préparer pour les cours.
    
    J’y retrouve les mêmes rangements, mais le contenu est bien différent. Du latex, du cuir, du vinyle… beaucoup de résille aussi. Des ...
    ... accessoires, toute une rangée de menottes : en fer, avec moumoute de toutes les couleurs, en cuir, avec chaînette, chaîne, pour poignets, chevilles… Je n’avais jamais imaginé qu’il pouvait y avoir tant de choix pour des menottes. Ah, des colliers aussi, des laisses… voilà voilà… Puis des godes, des vibros aussi : une rangée, deux, trois…
    
    Je ressens une violente douleur dans la fesse droite, et j’entends un claquement sec.
    
    Je me retourne. Des yeux verts sur- et soulignés de noir me toisent. Elle est brune, les cheveux longs tirés en arrière en queue de cheval. Son corset en vinyle, d’un noir éclatant, tente désespérément de contenir ses seins, bien trop volumineux. Sa jupe de la même matière s’arrête au tiers supérieur de sa cuisse, laissant voir un peu de chair avant qu’elle ne soit masquée pas de hautes cuissardes noires aux talons démesurés. Elle tapote le creux de sa main avec une cravache. Tout s’explique…
    
    — J’imagine que tu sais lire ; l’inscription sur l’entrée n’a pas pu t’échapper.
    — Je… Je suis une deuxième année.
    — Ah oui ? Je n’ai pas souvenir de t’avoir croisée.
    — Moi non plus… Enchantée…
    
    Elle s’approche de moi, l’air toujours aussi sévère ; je recule d’un pas et me retrouve dos au mur. Elle me bloque avec son torse, écrasant ses seins sur moi. Le bustier abandonne la partie et laisse remonter à l’air libre deux tétons durcis. Elle glisse sa main sous ma jupe et pénètre sous ma culotte, caresse avec son index ma chatte trempée puis y enfonce deux doigts ...
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