1. Chaudes Vacances 06


    Datte: 14/08/2020, Catégories: Gay Hardcore, Anal Auteur: petitcul57, Source: xHamster

    ... pénétrait doucement jusqu´à ma gorge. La sensation était de plus en plus difficile à supporter, mais je voulais la prendre en entière. Je voulais être la chienne que je lui avais promis d'être.
    
    - Hm... c'est bien ça, petit salope. Courage, ne me déçois pas. Il te reste encore que quelques centimètres.
    
    J'avais des hauts le cœur. La salive emplissait ma bouche et débordait sur les côtés. Je me retenais de tousser pour ne pas devoir tout recommencer.
    
    Ses mains postées derrière ma tête, il me chuchota:
    
    - Prêt?
    
    Je clignais des yeux, et les larmes roulèrent sur mes joues. Puis il donna un violent coup de hanche, faisant glisser les derniers centimètres de sa queue en moi.
    
    Je sentis alors son gland descendre dans ma gorge. Ses couilles et son bas-ventre étaient collés contre mon visage. Il me retint ainsi pendant une durée indéterminée, mais qui me parut très longue.
    
    La sensation était étrange. Comme si j'avais quelque chose de coincé dans ma gorge. Je respirai par le nez, paniqué car l'envie de vomir était de plus en plus forte. Ma bouche était inondée de salive. Je lui tapotais sur la cuisse pour lui faire comprendre que j'en pouvais plus.
    
    - Encore un peu. Relax! Profite de ce moment. Tu as 21 cm dans ta bouche, c'est une sacrée performance.
    
    En guise de réponse, je toussais, espérant faire sortir sa queue en même temps. Mais en vain. ...
    ... Il me tenait avec une telle force que je ne pouvais pas bouger.
    
    - Prends mes couilles dans ta mains, caresse-les.
    
    Je ne réagissais pas à ce qu'il venait de me dire. Je me concentrai seulement sur cette sensation horrible mais excitante à la fois.
    
    - Prends mes couilles, petite chienne!
    
    Marc ramena sa hanche encore plus vers moi, ce qui rajouta un ou deux centimètres en plus au fond ma bouche. Je levai alors une mains et saisis ses couilles. Je les malaxai lentement en tentant d´ignorer mon envie de vomir. Je pleurais, mon visage était humide de larme et de salive.
    
    Et d´un seul coup, il retira sa queue de ma bouche. Un long filet de bave resta accroché entre son sexe et mes lèvres. Je tombais en arrière, aspirant le maximum d'air que pouvais, crachant sur moi-même toute la salive emmagasinée.
    
    A peine eus-je le temps de reprendre mes esprit que Marc me souleva par les bras et me renversa à quatre pattes sur la serviette.
    
    La tête posée sur le sol, la bouche ouverte et toujours sous le choc de cette gorge profonde que je venais de subir, je sentis ses mains me chopper par mon pantalon. Il défit le bouton et baissa le tout, caleçon avec.
    
    L'air frais de la mer me caressa le bas du dos et les cuisses. Je voulus lui parler, mais avant que je ne puisse ouvrir la bouche pour dire quelque chose, il m'écarta les fesses et dit :
    
    - A nous deux! 
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