La mère de Jean (12) - Histoires de Sexe

La mère de Jean (12)

... compte du plaisir qu’elles prenaient à la tripoter partout. Lorsque les deux masseuses rejoignirent leurs mains, celles-ci se trouvaient au niveau du pubis ensoleillé d’Adèle.

— Une vraie rousse… ça ne nous est jamais arrivé ! Hein Jacqueline !

— Tu es superbe… je peux te… enfin aller plus loin par-là ?

Jacqueline avait une chevelure châtain et elle parlait du sexe de la femme couchée. Celle-ci cligna seulement des yeux et l’autre prit cela pour un consentement. De toute façon, elle était venue pour ce genre d’amusement et ceux-ci devaient tôt ou tard se préciser. Que ce soit à cet instant ou longtemps après, quelle importance ? Adèle avait toujours les jambes largement ouvertes et les doigts de la nana n’eurent aucun mal à se frayer un passage entre des lèvres largement humidifiées par les nombreuses manipulations partout sur son corps. Mais le début de cet attouchement intime la fit pourtant sursauter.

Nathalie elle, sans un mot venait de grimper lestement sur la table et les deux pieds de part et d’autre du visage de leur invitée, elle s’accroupissait sans rien demander. Les yeux ouverts, la rousse vit descendre vers son visage la chatte du « camionneur ». Elle n’était pas totalement épilée ou rasée. Un rectangle de poils approchait de son nez. De toute évidence elle venait se frotter contre la bouche de la femme étendue, pendant que sa compagne, elle, massait désormais l’intérieur du sexe de la rousse. Et pour se donner une contenance, Adèle commença donc à ...

... brouter la fente qui bâillait au-dessus de sa langue.

Ensuite les choses s’accélèrent. Le corps d’Adèle devenait le terrain de jeux des deux compagnes qui s’en donnaient à cœur joie. Quand la bouche de Jacqueline vint aussi visiter sa motte, la rousse crut défaillir. Elle avait des frémissements qui parcouraient tout son épiderme et elle redoublait ses coups de langue à la chatte qui s’appesantissait de plus en plus sur sa frimousse. Nathalie s’était penchée encore un peu plus et de ses mains, elle pinçait les seins de leur jouet. Tout s’emmêlait dans la caboche de l’invitée.

Adèle crut devenir folle sous les doigts qui s’insinuaient partout, sous deux langues qui lui donnaient mille frissons. Elle supporta les incroyables va-et-vient des doigts de Jacqueline et les mouvements du bassin de Nathalie qui se masturbait littéralement sur son visage. Elle manquait d’air, l’autre sur elle lui maintenant son bas ventre sur le nez. Puis pratiquement en même temps, les deux femmes se retirèrent.

Nathalie entraina ensuite Adèle vers une porte qu’elle n’avait pas seulement décelée. Une douche les accueillit et elles se pressèrent ensemble sous le jet tiède. Puis Nath embrassa une première fois la rousse. Mais ce baiser n’avait ni le gout ni la saveur de ceux d’Annabelle. Elle ne trouva pas le second meilleur. Et son manque d’élan avait dû être ressenti par la petite bonne femme qui n’insista pas. Jacqueline n’était pas venue les retrouver !

Après les ablutions plus ou moins ...