1. Voyeur de ma mère (4)


    Datte: 12/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: sexag, Source: Xstory

    Le moment tant attendu arrive. Karine a mis une petite jupe d’écolière, des bas résille noirs, des talons hauts, un corsage blanc dilaté par sa poitrine opulente et qui laisse entrevoir un soutien-gorge noir. Surprise ! Elle a mis une paire de lunettes qui lui donne un air vraiment coquin. A la FAC les garçons disent : « Femme à lunettes, femme à quéquettes »
    
    14h30, le carillon de la porte d’entrée fait entendre sa douce musique. C’est moi qui ouvre avec Karine à mes côtés.
    
    Très étonnée à la vue de Liliane drapée dans un manteau trois quarts léger, Karine pique un fard, devient toute rouge et bredouille quelques mots.
    
    — Mais, ben, ben... Liliane ?
    
    Julien prend la parole :
    
    — Oui, c’est ma sœur. Quand j’ai su qu’elle était bi et surtout lesbienne, je lui ai raconté notre rencontre chez vous et votre demande. Dans un premier temps elle ne m’a pas cru mais lorsque j’ai insisté en lui expliquant votre ardeur dans les ébats, elle a absolument voulu venir vous rencontrer. Vous êtes choquée ?
    
    — Non, surprise. Alors bonjour Liliane, on se fait la bise ?
    
    Ce fut plus qu’une bise, les deux femmes se sont embrassées brièvement sur la bouche, mais assez longtemps pour que les langues s’entrelacent.
    
    — Vous êtes mignonne Karine dans cette tenue de jeune fille. J’aime beaucoup.
    
    — Merci Liliane mais il serait plus sympa de nous tutoyer.
    
    Subrepticement, Liliane soulève un côté de la jupe de Karine.
    
    — Très joli porte-jarretelles, tu ne mets pas de ...
    ... culotte ?
    
    — Non, je me suis préparée pour notre après-midi.
    
    — Je trouve la touffe de ton pubis très excitante.
    
    — Et toi Liliane montre-moi.
    
    Liliane ouvre son manteau. Elle est nue dessous, soutient gorge rouge, string assorti laissant également deviner une épaisse toison brune, avec un porte-jarretelles soutenant des bas de soie noirs qui émergent d’une paire de cuissardes du plus bel effet.
    
    — Ouah que tu es sexy, je dirais même désirable, les garçons diraient bandante.
    
    Florent rompt les présentations.
    
    — Allez les amis, passons au salon pour le café, Maman, ou plutôt Karine tu peux nous servir. Je vais ouvrir une bouteille de champagne pour l’occasion. Les filles sur le canapé et nous dans les fauteuils. Les filles avec les filles et les garçons avec les garçons.
    
    — Ah bon ! Vous vous mélangez aussi les mecs ? demande Liliane.
    
    — Non, c’était une façon de parler.
    
    Karine nous sert donc le café et chaque fois qu’elle se baisse nous offre une vue splendide sur son cul et la touffe qui dépasse. A son passage, je ne peux m’empêcher d’esquisser une caresse.
    
    — Pas touche Florent c’est pas pour toi aujourd’hui ou un peu plus tard.
    
    Comme disait Coluche dans un de ses sketchs « je reste dans mon slip couille croisé de Playtex »
    
    C’est moi qui sers le champagne, ce qui me permet de m’approcher de Liliane dont le manteau s’est ouvert quand elle s’est assise et de mater sa poitrine qui ressemble à celle de Myriam.
    
    — Est-ce que je peux te caresser les seins ...
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