Contes sexuels (4)
Datte: 12/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: marla4, Source: Xstory
... je ne vais pas en plus t’attacher les chevilles en t’écartant les cuisses ? Quoi que... Dit-il pensif.
Mais j’émis un son de protestation, enfin ce qui y ressemblait pour moi malgré mon bâillon.
— Très bien je te laisse les pieds libres mais ton cul est à moi...
Et il reprit son exploration anale en enfonçant cette fois un doigt dans mon fondement. Il me faisait me cambrer en me masturbant en même temps le clitoris, je me sentais mouiller et il commençait à utiliser la mouille abondante de mon vagin pour me lubrifier au mieux l’anus. Il rentrait maintenant deux doigts, très doucement mais fermement à la fin comme pour vérifier que je m’ouvrais bien comme il le voulait. Au bout de quelques minutes, se l’entendit ouvrir sa braguette et sortir son pénis de son caleçon : je sentis une masse de chair me pénétrer au plus profond de moi-même et cette fois, malgré mon bâillon, mon hurlement se fit entendre. Il fit alors des va-et-vient lents en moi, comme pour me ménager quelque peu, mais je sentais tout de même mon cul en feu et encore trop serré pour tout ce que je prenais. J’essayais de me détendre, car je trouvais tout de même la situation assez excitante, baisée par mon voleur. De plus, je ne l’avais jamais avoué à aucun de mes amants mais être attachée avait toujours été mon fantasme, même si j’imaginais des menottes élaborées ou du bondage plus artistique je l’avoue, pas scotchée par terre et sodomisée de force.
Mon bourreau en avait apparemment aussi assez d’être ...
... sur mon sol, et il partit vers ma chambre comme s’il connaissait les lieux, je le vis passer devant moi bien que je sois affalée par terre, le cul ouvert des assauts répétés que j’avais subi et je n’avais d’autres choix que d’attendre la suite du supplice.
Il se dirige ensuite vers le rez-de-chaussée et je l’entendis fouiller dans mes placards, je me demandais ce qu’il allait encore inventer pour me prendre comme une chienne, puisque visiblement c’était l’idée. Je le vis alors remonter avec du papier sulfurisé, comme pour enrouler de la viande et je voulus rire, mais il se baissait déjà pour couper les liens qui me collaient au sol et me souleva pour m’aider à marcher jusqu’à mon lit où il me fit asseoir en me tenant fermement par la nuque. Puisque je me trouvais enfin face à lui je l’observais. Il avait une cagoule, je devinais juste une barbe de trois jours brune, mais c’était mon seul indice sur l’identité de mon nouvel amant.
— Je vais t’enlever le scotch pour t’attacher avec autre chose, n’essaies pas de t’échapper ou je te baise le cul jusqu’à ce que ton petit anus saigne, on n’a tous les deux aucunement envie que ça arrive n’est-ce pas ?
Je ne veux pas subir cela non, je ne bouge pas un cil lorsqu’il tire violemment et que ma peau me brûle, je sursaute juste mais il m’a vite enroulée dans ce film plastique, juste le haut du corps d’abord, très minutieusement en collant bien le film sur ma peau et moulant particulièrement mes seins, mes fesses, laissant juste ...