J'offre ma femme à notre fils (2) - Histoires de Sexe

J'offre ma femme à notre fils (2)

... Dieu, mon Dieu, comme c’est bon, vous me faites mourir !

Ryan joint un quatrième doigt et tourne longuement dans le cul de sa mère; lentement le conduit se dilate.

Je frotte de plus en plus vite le bouton sensible, ma femme glousse comme un animal, elle agite fortement sa croupe. Ses plaintes ressemblent à des cris de douleur.

— Ca va maman ?

— oui oui mon chéri, je vais exploser !

Elle pousse un hurlement terrible et jouit comme jamais.

Ryan retire ses doigts et se place derrière sa maman, il frotte sa queue tendue contre le cul ouvert, et s’enfonce dans le trou qui n’oppose aucune résistance.

Il donne de violents coups de reins à chaque coup, ses couilles frappent les fesses de sa mère qui rugit sous la puissance du pilonnage.

La bite coulisse dans l’antre maternel à vive allure.

Ma femme grimace, elle a les yeux fermés, un rictus déforme son visage.

Ryan s’acharne à la défoncer; il ressort sa queue et la replonge brutalement; sa mère pousse un grognement, il réitère le mouvement de nombreuses fois.

Ma femme y prend goût, elle murmure:

— Oui, oui, mon chéri, casse le cul à maman, plus fort, vas-y !

Encouragé, Ryan s’évertue à faire gueuler de plaisir sa maman qui en redemande.

Moi, je me masturbe énergiquement.

Ryan se bloque, ma femme se cambre, les deux jouissent en même temps, en poussant des grognements de bêtes.

Les deux restes un moment soudés avant de se ...

... séparer.

Je m’allonge sur le sol, la queue tendue.

— Viens ma chérie, viens t’empaler !

Elle m’enjambe, saisit ma bite et la dirige vers sa chatte dégoulinante de cyprine.

Elle se laisse tomber pour s’empaler à fond.

Je la plaque contre mon torse et demande à notre fils de nous rejoindre.

Il frotte son cèpe contre l’entrée qu’il vient de quitter, donne un coup de reins et s’enfonce jusqu’aux couilles.

C’est en alternance que nous la défonçons, nos queues agissent comme deux pistons, rapidement des sons incongrus sortent de nos bouches, ils augmentent lorsque la cadence s’accélère.

C’est moi qui remplis la chatte en premier, ma femme jouit lorsque Ryan lui blasonne l’intestin de son sperme brûlant.

Sa jouissance est intense, elle me mord l’épaule pendant qu’elle gicle comme une femme fontaine.

— Oooh, oui ! C’est trop bon mes chéris !

Je retire ma bite de la chatte et la lui enfonce dans le trou déjà occupé par la bite de mon fils.

— Oui oui une double ouaaaaaah génial ! crie ma femme.

Nos queues qui n’ont pas encore débandé comblent de bonheur ma femme insatiable.

Le pilonnage est sévère, les assauts violents.

Les râles bruyants resonnent dans la pièce.

Ma femme se raidit, elle serre les dents, et pousse pour la énième fois un cri terrible de jouissance.

Je replace ma queue dans la chatte, mon fils me rejoint, le pilonnage reprend de plus belle, jusqu’à la jouissance finale.