Où il est question de se faire tirer... le portrait (1)
Datte: 12/08/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Animal_75013, Source: Xstory
... surtout.
— Non, moi ça ne me dérange pas. J’ai vu tes tableaux et j’aurai une certaine fierté à y être représenté. Même dans le plus simple appareil.
— Si ça ne te dérange pas...
— Combien de temps faut-il prévoir ? Quand veux-tu le faire ?
— Écoute, il faut une demi-douzaine de séances, 2h à 3h chacune. Je n’ai pas de tableau en cours, si tu veux, on peut faire ça dès demain, si tu es libre.
— 14h chez toi ?
— Ok, voici mon adresse.......
— Très bien, j’y serai. Que dois-je apporter ?
— Rien... Toi 😊
— Ok... à demain
Le lendemain, je revêts la même tenue que samedi soir. Un pantalon blanc, ample, un boxer blanc et une chemise. Je sonne chez elle. Elle m’ouvre. Même tenue que samedi. Nous nous sourions et commençons en même temps
— Que c’est drôle.
Nous éclatons de rire.
— Qu’est-ce que je peux te servir ?
— Je ne sais pas. Si je bois, je risque de devoir bouger 😊
— Lol, oui, je comprends. Je te fais faire un tour de la maison ?
— Bien sûr
C’est une grande maison sur deux étages, cossue, agréable, accueillante. Nous en faisons le tour. Son atelier est au premier, orienté au nord avec une grande fenêtre sans vis-à-vis.
— C’est mieux si personne ne peut voir - dis-je
— Oui, c’est mieux, tu as raison - répond-elle avec un grand sourire
Une grande toile blanche repose sur un chevalet. Elle me donne quelques infos sur la manière dont va se dérouler la séance.
— On commence tout de suite ?
— Si tu veux. Je te ...
... propose d’aller te... dévêtir derrière ce paravent. Je vais de mon côté me mettre en tenue.
— Tu as une tenue ?
— Oui, une grande blouse blanche... Que je peux salir à loisir et dans laquelle je suis à mon aise, libre de mes mouvements.
Elle ponctue les 4 derniers mots d’un sourire resplendissant. Nous disparaissons tous les deux.
— Il y a une serviette sur la chaise. Tu peux t’en ceindre la taille si tu le souhaites - me crie-t-elle
Nous reparaissons tous les deux. Comme elle me l’a dit, elle est dans une blouse blanche, ample, tachée de peinture de diverses couleurs. Et moi je suis devant elle, nu comme un ver, avec juste cette serviette.
— Assieds-toi sur cette chaise.
Elle s’approche de moi, très maîtresse d’elle-même.
— Mets ta jambe ainsi, l’autre comme ça, lève le bras droit, mets le gauche ici, lève la tête, le menton, tourne le regard vers moi, plus haut, non, trop, un peu plus bas, encore un peu plus à gauche le visage.
Elle se recule, me regarde, analyse la position, recule encore, revient vers moi, me prend le bras qu’elle déplace légèrement, fait de même avec ma tête, recule à nouveau, jusqu’à son chevalet, analyse la scène.
— Descends un peu le bras droit. Stop. Tourne un tout petit peu la tête vers la gauche, oui, c’est ça, ne bouge plus.
Elle s’approche de moi.
— Me permets-tu de retirer la serviette ?
— Euh... oui, vas-y
Elle saisit un des coins et tire délicatement dessus, dévoilant mon intimité masculine. Elle y jette un ...