1. Le journal d'une veuve (1)


    Datte: 12/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... C'est joliment dit. Mais avec qui ? Pour le moment, je fais mon bonheur moi-même le soir dans mon lit avec un gode acheté sur le web. Je pense au passé mais aussi à quelques mecs bien membrés vus sur internet. C'est un petit début... mais c'est un début.
    
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    (Deux semaines plus tard). J'avais oublié de préciser que Véronique est mariée à un artisan, et que cet artisan a des ouvriers, et que ces ouvriers sont majoritairement des gars des pays de l'Est. L'autre jour, Véro m'en a envoyé un qui s'était blessé au doigt. Elle aurait pu s'en occuper elle-même, vu qu'elle est aussi toubib, et quand elle m'a prévenue de sa visite, ça m'a un peu étonnée. J'ai compris quand j'ai vu débouler le blessé. Je n'avais jamais vu un aussi beau mec dans mon cabinet. Grand, brun aux yeux bleus, large d'épaules, la trentaine, bref un vrai canon. Croate de son état et prénommé Branko. Un français difficile mais des yeux plus éloquents que la parole.
    
    Evidemment, pendant que je lui faisais son pansement, il a caressé mes nichons du regard (bien moulés ce jour là dans un pull serré) et j'avoue que ça ma fait tout drôle. Je sentais ses yeux plantés sur mes fesses pendant que je déambulais et je crois bien que j'ai légèrement ondulé de la croupe, que j'ai ronde, un peu large et bien galbée dans mon jean. Quand il est parti, c'est moi qui l'ai suivi du regard et j'ai flashé sur son petit cul. J'ai toujours eu un faible pour le cul des hommes. Il est revenu deux jours après pour se faire ...
    ... enlever le pansement et je l'attendais avec un corsage légèrement imprudent pour un médecin généraliste femme, parce que déboutonné jusqu'au milieu de mon sillon mammaire. La veille, j'avais raconté à Véro l'impression que m'avait faite son Croate et elle m'avait dit : "invite-le à dîner et baise-le". Facile à dire. On ne drague pas dans un cabinet médical. Mais je n'ai pas eu besoin. A peine avais-je terminé son pansement qu'il me prenait la nuque et me roulait une pelle monumentale. J'en étais suffoquée. Normalement, en féministe, j'aurais dû le gifler et le virer. Mais je dois avouer que ma langue a suivi la sienne. C'était vraiment très rapide, cette histoire. En plus, il me pétrissait les seins, rien de tel pour me faire écarter les cuisses et j'ai dû accomplir un effort surhumain pour me dégager, vu que ma salle d'attente était pleine et que je me voyais mal me faire sauter dans mon cabinet.
    
    - Non, s'il te plait, pas maintenant, viens chez moi ce soir, lui ai-je soufflé entre deux coups de langue.
    
    Je lui ai donné l'adresse, il est parti et j'ai attendu cinq minutes avant de faire entrer le patient suivant, histoire de me remettre de mes émotions.
    
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    Il est arrivé avec un joli bouquet de fleurs, c'était touchant, et quand je l'ai mis dans un vase, j'en senti son regard sur mon dos. Je portais un corsage boutonné en haut et légèrement fendu jusqu'aux reins, découvrant mon dos nu. Il ne pouvait pas lui échapper que je ne portais pas de soutif. Mes roberts ...