Jef fait du stop (2)
Datte: 12/08/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory
... lui avait expliqué, il se passe quelque chose de fantastique dans ce moment-là !
Elle essaya, comme le lui avait dit son amie de ne pas desserrer les lèvres et d’avaler le sperme. Malgré tout, un peu s’échappa de sa bouche. Odile, en un éclair, d’un coup de langue précis, effaça le débordement imprévu.
— Et alors ? Était-ce si terrible ? Tu as aimé, j’espère !
— Finalement oui, dit-elle en reposant la bite luisante et devenue flasque sur le ventre de Jef. Je crois même que je recommencerai.
— Ah ! Là, tu me fais plaisir !
Dis-moi ! Je t’ai vu me prendre en photo !
— Tu parles ! Je n’aurais manqué cela sous aucun prétexte ! Tu verras ! Tu es magnifique !
— Ça, j’en doute ! En tout cas, maintenant, il est out ! Et moi, je reste sur ma faim !
— Pas de panique, cocotte, j’arrive ! Juste le temps que j’enfile le machin.
En un tour de main, Odile se trouva affublée de l’organe dont la nature ne l’avait pas doté. Jef récupérait doucement, mais n’en avait pas pour autant abandonné le clitoris qu’il tenait entre ses lèvres.
Alice avait fait du bon travail. L’anus de Sophie béait largement au point que le rayon de soleil parvenait à y entrer.
Odile n’eut aucun mal à s’introduire ce qui n’empêcha pas Sophie de pousser un cri.
Il ne fallut guère plus de deux ou trois minutes pour qu’elle se mette à dire des gros mots, à jurer comme un charretier, à supplier Odile de lui défoncer le cul ! Est-ce une façon de parler pour une jeune femme de bonne ...
... famille ! Excitée, elle s’était de nouveau approprié la verge de Jef et recommençait à la branler, à la sucer en poussant les cris aigus entre deux grossièretés. Elle fit tant et si bien qu’en même temps qu’elle explosait dans un orgasme délirant, elle se faisait copieusement décorer le visage par un flot de sperme.
— Allez ! Tout le monde à la toilette. Il est bientôt dix heures, ordonna Alice.
La douche fut l’occasion d’un beau chahut, mais Jef ayant demandé une trêve ô combien méritée, les chatouilles, papouilles et autres caresses coquines ne dégénérèrent pas en une nouvelle orgie.
À dix heures trente, Alice referma la porte de la maison forestière. Jef était déjà dans la Golf, Odile et Sophie en train de l’embrasser une dernière fois.
— Ça serait bien qu’on se revoie, non !
— S’il y en avait bien un qui était d’accord, c’était bien lui ! Il n’était pas près de l’oublié son retour en stop !
Les deux filles montèrent en voiture et s’éloignèrent en faisant de grands signes d’adieu par la portière.
Alice monta en voiture.
— Alors, ça y est ! C’est fini ! Tu ne nous en veux pas trop de t’avoir un peu bousculé parfois !
— Je suis partant pour recommencer demain si tu veux !
Demain, certainement pas. Un autre jour, pourquoi pas. Laisse-moi ton numéro de portable ! Je te promets de te rappeler dès que l’occasion se présentera. Et il se peut même que cela soit encore plus fou que cette fois-ci !
— Tant mieux ! Tu m’as fait découvrir des choses que je ne ...