1. Educatrices Ch. 06


    Datte: 15/04/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... cul remontait s'enclouant jusqu'aux couilles sur la bite de Mohamed, puis absorbait voracement le vit de Gerald jusqu'à la matrice, sa bouche onctueuse procédait par à coups sur la queue de Gerald.
    
    Elle l'aspirait voluptueusement jusqu'à la glotte puis la repoussait du bout de la langue, mordillait le frein et la reprenait à pleines bouches, ses mains se posèrent sur les couilles de son amant de tête, les lui tripotè-rent, les caressant, les frottant contre son menton.
    
    Dans un saut de carpe Gérald se planta au fond de da gorge, le nez en-foncé dans les poils de son pubis elle sentit les frémissements convulsifs qui s'emparaient de sa byroute, l'agitant de soubresauts nerveux tandis qu'en longs jets il lui inondait la bouche, elle téta sa liqueur salée jusqu'à
    
    la dernière goutte, ne consentant à libérer le chibre ramolli qu'une fois certaine de lui avoir vidé les couilles .
    
    Ses deux chevaucheurs perdirent brutalement le rythme et tandis que son bassin aussi s'affolait, les spasmes lui secouant avec la ...
    ... dernière in-tensité la matrice elle sombra dans l'orgasme alors qu'en même temps Mohamed lui crachait sa purée au fin fond des entrailles et Robert se vi-dait encastré jusqu'à la garde dans son fourreau.
    
    Epuisés, les couilles à plats, les trois cadets s'endormirent emmêlés sur elle.
    
    Les yeux grands ouverts elle écoutait son cœur se calmer, elle sombra aussi dans le sommeil le con et le cul débordant de foutre chaud.
    
    Tout le dimanche, elle livra son corps à leur lubricité, leur enseignant en cours accéléré toutes les possibilités d'un beau corps de femme totale-ment disponible.
    
    En ce week-end de folie, les quatre femelles comprirent que cette jouis-sance inouïe qu'elles avaient prises à ces coucheries devait beaucoup aux humiliations subies la veille lors du concours qui les avait opposées.
    
    Si leur corps s'était maintenant fait aux rudes étreintes dont les pension-naires les gratifiaient, leur âme s'habituait à jouir dans la contrainte, la clandestinité, l'humiliation, la soumission.
    
    Coulybaca
    
    janvier 2008 
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