1. Vacance chez mon oncle. Version intégrale !


    Datte: 12/08/2020, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe BDSM / Fétichisme Auteur: CrazyJoz, Source: xHamster

    ... rendit mon baiser, me mordilla la langue, les lèvres.
    
    « Tu crois pouvoir t’en sortir comme ça ? demanda-t-elle.
    
    — Pourquoi pas ? J’aime Jessica, je veux l’aimer et la baiser comme je l’entends. Je veux qu’elle m’appartienne, de la même manière que je t’appartiens. »
    
    Je la libérai de mon emprise et reculai de quelques pas. Elle resta appuyée contre le mur, son rouge à lèvres éparpillé sur le visage. Je bandais sous mon jean, je ne pouvais pas le cacher. Maria m’excitait terriblement, je ne voulais pas perdre ça, pas même pour sa fille.
    
    « À genoux ! »
    
    J’obéis aussitôt. Elle retourna devant la table et ouvrit la boite, je l’entendis fouiller à l’intérieur. Elle revint devant moi.
    
    « Lève la tête. »
    
    Je la regardai. Je lus l’excitation dans son regard. Une première gifle arriva, aussitôt suivie d’une seconde. Mes joues étaient en feu, je ne disais rien. Elle recommença de nouveau.
    
    « Tu veux toujours désobéir ?
    
    — Oui, maîtresse… »
    
    Je m’attendais à une nouvelle gifle au lieu de ça elle s’agenouilla et colla son front contre le mien.
    
    « Ça ne peut pas marcher comme ça… Soit tu es à moi, soit à une autre.
    
    — Vous faites bien la même chose avec mon oncle. »
    
    Nous restâmes ainsi quelques secondes. Puis elle m’ordonna de me relever et de me déshabiller. Je m’exécutai aussitôt. Une fois nu, elle vint installer un collier à mon cou, elle me tenait en laisse, réellement cette fois.
    
    Tirant sur la laisse, elle me fit avancer jusqu’à la table. J’aperçus ...
    ... le contenu de la boite, des sex-toys, un martiné, un bandeau pour les yeux, des menottes, un bâillon… L’excitation et la peur se mélangèrent en moi.
    
    « Penche-toi sur la table, les jambes bien écartées. »
    
    J’obéis.
    
    Elle prit ma main droite et la menotta au pied de la table, elle fit de même pour la gauche. Je me retrouvai ainsi dans l’incapacité de bouger. Sa main caressa mon dos, mes fesses, mes testicules… Elle saisit mon sexe et commença à me masturber.
    
    « Qu’est-ce que tu veux ? demanda-t-elle.
    
    — Je veux… être votre soumis, que vous m’éduquiez. Enseignez-moi, maîtresse. Faites de moi ce que vous voulez, tout ce que vous voulez…
    
    — Vraiment tout ? »
    
    Sa voix était sadique, étais-je vraiment prêt à tout ? Je le savais au fond de moi, c’était la seule solution.
    
    « Vraiment tout, confirmai-je, en échange, je ne vous demande qu’une chose.
    
    — Ma fille ?
    
    — Oui, maîtresse. »
    
    Elle cessa la masturbation et me mit plusieurs fessés.
    
    « Et si je ne suis pas d’accord ?
    
    — Si vous refusez, je ne serais plus à vous. Vous ne parlerez de rien à personne, pour que je ne parle de rien moi non plus. Je suis ici pour encore trois semaines, j’en ai rien à foutre que l’épicier me traite de pervers, vous, vous vivez ici, ce sera différent pour vous !
    
    — Du chantage ? »
    
    Elle passa ses doigts sur mon anus, elle tournait autour, comme je l’avais fait la veille sur Jessica.
    
    « De la négociation, répondis-je.
    
    — Je vais te baiser, dit-elle froidement.
    
    — Comme ...
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