Ma Logeuse Ch. 10
Datte: 10/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... l'entonnoir improvisé, en plaçai le goulot dans ma bouche Hélène s'accroupit sur moi, écartant sa culotte d'une main et tenant le bord découpé de la bouteille de l'autre. Il y eut un instant de silence, puis un mince filet coula des lèvres de son sexe, suivi immédiatement par un jet puissant qui vint frapper le bord de la bouteille. Ma bouche fut immédiatement remplie de la chaude aigreur salée de son urine, j'avalais une première gorgée, puis une autre. Hélène s'était déplacée de manière à ce que le jet arrive directement dans ma bouche et j'avalais gorgée après gorgée le liquide acre...enfin le jet se tarit. Hélène resta un moment sans bouger, me laissant finir d'absorber sa miction. Puis elle écarta l'entonnoir et se baissant, posa sa chatte directement sur ma bouche. Je léchais docilement les gouttes restées accrochées sur ses lèvres. Elle lâcha sa culotte qui reprit sa place normale et se releva. J'allais faire de même quand j'aperçus Carole, adossée à un arbre, qui nous fixait en se caressant, une main passée dans la ceinture de son jean. Hélène l'avait vu elle aussi.
« Tu veux en profiter? la place est chaude »
Carole répondit d'une voix enrouée.
« Non, merci, pas cette fois »
Nous finîmes notre ballade comme trois amis qui profitent de la forêt au début du printemps mais je gardais dans la bouche la saveur âpre si particulière de l'urine.
L'après midi fut calme. J'avais du travail à faire et Carole m'avait prêté sa chambre, et le bureau qui ...
... allait avec. J'entendais vaguement les deux femmes discuter au rez-de-chaussée tandis que je me penchais sur les méandres de la géométrie riemannienne.
Vers 19h, Carole entra dans sa chambre.
« Je vais me changer pour mettre quelque chose de plus confortable »
« Je vais vous laisser »
« Non, non, tu peux rester, tu ne me déranges pas »
Je ne pus m'empêcher de jeter des coups d'œil à la dérobée pour essayer d'apercevoir ce corps que je n'avais fait que deviner jusque là. Carole me tournait le dos. Je la vis enlever son tee-shirt, puis son jean. Je ne pouvais voir sa poitrine mais je me régalais de ses fesses mal contenues dans sa culotte de satin. Puis elle défit son soutien-gorge qu'elle posa avec les autres vêtements sur le lit. Dans son mouvement, j'entre aperçu la forme ronde d'un sein. C'était assez excitant d'essayer de voler ainsi des images de son corps alors qu'elle ne faisait rien pour se cacher vraiment. Elle enfila une sorte de grand tee-shirt, qui lui arrivait aux genoux, puis elle retira sa culotte de dessous ce tee-shirt et se retourna pour plier correctement ses vêtements. Je sortis moi même de ma contemplation pour faire mine de me replonger dans mon travail, mais j'avais eu le temps de voir la forme épanouie de son corps, à peine camouflée par le tissu léger. Carole, comme Hélène, était ce qu'on pourrait appeler « une femme ronde ». En fait, les deux femmes se ressemblaient beaucoup physiquement, et c'est peut être ça, en partie, qui les avait ...