Ma femme me raconte son aventure quelques mois plus tard. - Histoires de Sexe

Ma femme me raconte son aventure quelques mois plus tard.

... les filles et leur a demandé de ne pas l’attendre, qu’elle avait besoin d’aller aux toilettes avant de partir. Lorsqu’elle est revenue au bar, elle a terminé son verre seule. Elle était assise au fond de la pièce et l’éclairage était très tamisé. Soudain, une voix derrière elle l’a fait sursauter et quatre jeunes voyous sont venus l’aborder. Sans aucune manière et sans délicatesse, ils ont commencé à la complimenter et lui dire quel joli cul elle avait. Son décolleté était assez plongeant, dénudant une bonne partie de sa poitrine, et le banc où elle était assise faisait remonter sa petite jupe assez haut sur ses cuisses. Les jeunes lui ont offert un autre verre et, devant son refus, ils ont insisté pour qu’elle reste, maintenue fermement au bras par la main d’un des jeunes.

Ils ont ensuite retourné son banc de façon qu’elle ait le dos appuyé au mur. Elle m’a raconté qu’elle avait essayé de croiser les jambes mais qu’un des jeunes, assez vif d’esprit, a posé rapidement la main sur son genou pour l’empêcher de changer de position, et elle m’a avoué trembler de peur devant l’incertitude de leurs intentions. Les compliments ont continué à pleuvoir et les jeunes refermaient de plus en plus le cercle autour d’elle. Le bar était encore plein, et principalement des hommes. Ils ont commencé à lui poser des questions indiscrètes. Elle leur avoua qu’elle était mariée. L’un des jeunes lui a avoué qu’il préférait les femmes mariées parce qu’elles avaient plus d’expérience.

Au même ...

... moment, elle a senti une main se poser sur son épaule et la caresser. Elle sentit la pointe de ses seins durcir, pas par l’excitation, mais par sa gêne et son impuissance. Les quatre gars formaient un cercle très serré, empêchant les autres gens du bar de la voir. Sans avertir, un des jeunes qui se tenait devant elle vint appuyer son genou entre les siens, poussant avec insistance pour faire ouvrir ses cuisses. Il l’a regardée en riant, la traitant de farouche et de pute. Un de ses comparses lui est venu en aide, posant une main à l’intérieur de ses genoux pour les écarter légèrement, juste pour donner le temps à l’autre d’introduire sa jambe pour la maintenir légèrement écartelée. Ils pouvaient ainsi voir la bosse que formaient ses lèvres dans sa petite culotte semi transparente. Elle m’a dit qu’à ce moment elle a eu le souffle coupé, qu’elle avait peine à respirer et que son cœur battait à fond de train.

Un autre des jeunes a posé une main sur sa cuisse et a commencé à la caresser. Elle m’a avoué ne plus savoir quoi faire et qu’elle était complètement paralysée par la peur. Elle ne pouvait rien faire d’autre que regarder le jeune dans les yeux et le sentir remonter dangereusement sur sa cuisse. Un autre a placé sa main sur son autre bras, la caressant de haut en bas en effleurant son sein au passage. La main sur sa cuisse continuait de progresser et les doigts du jeune sont venus effleurer ses lèvres.

Nathalie m’a regardé, surprise de mon attitude et s’est vite rendu ...