1. Mon initiation amicale.


    Datte: 10/08/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, Oral préservati, init, initfh, Auteur: Alexandre K., Source: Revebebe

    ... les jambes, les replia, et s’allongea sur moi.
    
    — Tu me dis quand tu es prête
    — Je le suis depuis que tu m’as fait jouir tout à l’heure.
    
    Après une profonde inspiration, il empoigna sa bite sublime et la présenta à ma chatte. Sous cette intrusion oppressante, mes grandes lèvres la laissèrent entrer, et la protubérance progressait à présent dans mon antre. Sa bite, grosse et puissante, se dandinait habilement jusqu’à rencontrer mon ultime défense. Impatiente de m’asservir au plaisir, elle me chargea tel un bélier, puis finit par me remplir, alors que je poussais un grognement plaintif. Sa bite occupait enfin mon vagin dans toute sa profondeur.
    
    — Merci, tu peux continuer maintenant.
    
    Il se remit en mouvement avec des va-et-vient lents mais qui s’accéléraient. Je lui demandais d’aller plus vite. Encore un nouveau plaisir commençait à se faire connaître. Celui-ci était particulier, certes moins intense que celui du cunnilingus, mais sentir Julien en moi m’excitait. Il faisait à présent des mouvements rapides, et parfois brusques.
    
    — Continue… C’est bon… Allez, plus vite, et plus fort… Hummm
    
    La cadence s’accélérait. Il ralentissait parfois pour venir me taquiner les seins de sa langue, mais pour ensuite repartir de plus belle sur mon entrejambe. Je sentais que j’allais bientôt ...
    ... jouir, et malgré moi, je me pinçais les tétons. Julien se retira, me renversa sur le ventre, et après s’être placé derrière moi, tira mes fesses vers son bas-ventre.
    
    Cette position offrait une nouvelle nature à la pénétration : les assauts de Julien étaient rapides et puissants pour entrer, mais lents et doux pour sortir. Je sentais à chaque pénétration ses couilles s’écraser sur moi avec un bref bruit de claquement. Il devait certainement en tirer un plaisir particulier, car je l’entendais gémir pour la première fois. La levrette m’offrait la possibilité de me caresser le clitoris sans gêner Julien à l’ouvrage. Ce double plaisir ne tarda pas à m’amener à jouir, et Julien m’accomplit dans un gémissement final.
    
    Il finit par s’allonger à-côté de moi.
    
    — Et voilà, tu n’es plus vierge.
    — Je ne pourrai jamais assez te remercier. Tu as été parfait avec moi.
    — Bah, c’est à ça que servent les amis.
    
    Après cette phrase, Julien se leva, se pencha sur mon sexe pour y déposer un baiser, et sortit de la chambre. Je le retrouvai le lendemain endormi sur le canapé, là où il dormait à chaque fois qu’il venait passer la nuit. Je me rappelai alors de la promesse que nous nous étions faite la veille, et je regrettais amèrement d’avoir accepté. J’avais toujours l’espoir de retrouver sa langue sur mon sexe. 
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