Confessions d'une esclave sexuelle (4)
Datte: 10/08/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Bison noir, Source: Xstory
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Signature
J’ai relu le contrat trois fois de suite. C’était hard quand même...De le voir matérialisé, noir sur blanc, c’était différent...Mais je restais hypermotivée. J’adorais le sexe avec lui. Je sentais que cette relation allait m’épanouir encore plus alors que de prime abord, ce contrat ressemble à un avilissement certain. Dans le mail où le contrat était en pièce jointe, Max me disait de bien le lire, de ne pas hésiter à lui faire remonter mes remarques et surtout, de bien réfléchir à ce que j’allais noter à l’article 10 : je n’avais que 2 choix...Et pourtant, il y a bien plus de deux demandes qui me dégoûteraient de faire.
Très vite, je commençais à cogiter et à faire une liste des choses que je ne souhaitais pas subir. Me faire cracher au visage, être fistée... Tout cela ne me donnait guère envie. Puis, en allant sur des sites spécialisés sur l’esclavage sexuel, je me suis rendu compte qu’il existait des pratiques bien pires que celles auxquelles j’avais pensé : scarification, scatophilie, chirurgie esthétique, tatouage pour montrer mon appartenance, électrocution, ...
... etc.
Je ne voyais pas Max être capable de me faire des choses pareilles, mais il avait l’air tellement bien renseigné sur le sujet avec la rédaction de ce contrat que je ne pouvais pas prendre les choses à la légère. Je savais déjà, sans grande hésitation, la première des choses que je ne voulais pas subir : il était hors de question qu’il me chie dessus. Je ne voyais pas Max me payer une chirurgie esthétique...Il ne gagnait pas suffisamment bien sa vie pour faire cela. Ce qui me faisait le plus peur était la scarification. Après une longue réflexion, c’est donc la deuxième pratique que je notais sur le contrat. Il me restait à trouver un nom de code. Je manque souvent d’imagination pour ce genre de chose. Bêtement, je me rendais compte que durant la lecture et la réflexion, j’étais en train de m’enfiler une tablette de chocolat. Je ne souhaitais pas réfléchir plus que cela, il commençait à se faire tard et j’étais fatiguée. Le “safeword” serait donc : CHOCOLAT.
Le lendemain, je répondais au mail de Max par ce simple message : “On commence quand ?” La réponse ne tarda pas : samedi à 18 heures chez lui.