1. Anomalie de Mère Nature


    Datte: 10/08/2020, Catégories: Première fois Auteur: PassifChaud, Source: Hds

    Bonjour à Tous…
    
    Je suis né, j’ai toujours vécu et je le suis encore… Une Anomalie de la Nature…
    
    J’ai vu le jour au début des années soixante, où ma mère a accouché à la « ville » et nous sommes retournés, quelques jours après, dans le village où nous vivions.
    
    Un petit appendice était entre mes cuisses potelées et c’est donc le plus naturellement du monde que j’ai été déclaré garçon par la maternité, à cette époque, c’était très simple et on ne s’embarrassait pas trop de questions, personne ne s’était inquiété qu’un orifice subsistait toujours sous ma petite verge. Il devait se colmater avec le temps, sans doute dû à une à une légère malformation embryonnaire.
    
    J’ai donc grandi en petit garçon, puis en garçon aussi, attendant une puberté tardive qui s’est produite, vers mes 15 ans, d’une manière totalement anarchique. Mon corps se développait au masculin, avec quelques poils naissant sur le « Chemin des Dames » et sur les cuisses, sans apparition de barbe pour autant, mais entre mes jambes, c’était très différent.
    
    Cette verge, déjà très petite à l’origine, réduisait, sans descente de testicules, et la fente en dessous, s’agrandissait, se boursouflait, prenait de la profondeur pour devenir, un peu plus d’un an plus tard, un véritable vagin.
    
    Très féru de sciences, décidé à faire médecine, je dévorais tous les livres de la bibliothèque de mon lycée à ce sujet, et plus particulièrement, tous ceux qui avaient un rapport avec l’évolution sexuelle chez l’ado, ...
    ... essayant de comprendre ce qu’il m’arrivait. J’ai donc vu, sur le papier, beaucoup de verges et de vagins, et c’est comme ça que j’ai pu constater, que ce que j’avais entre les cuisses maintenant, était un véritable vagin, une chatte comme disaient mes copains, où même un liquide s’écoulait quand j’y mettais la main dessus. Je ne masturbais plus ce tout petit bout, mais mes lèvres, appuyant mes doigts dessus, comme le faisait une fille, en y trouvant, une jouissance absolue.
    
    Complètement désorienté, en cachant tout ça à mes parents sous prétexte d’une pudeur excessive, j’ai osé en parler à mon meilleur ami, vers mes 17 ans, en lequel j’avais une entière confiance.
    
    Ses parents étant médecins tous les deux, sans aucune curiosité malsaine, il m’a demandé de me montrer ça, phénomène inimaginable à l’époque, et c’est avec une certaine honte, pour ne pas dire une honte certaine, que j’ai tout baissé devant lui pour lui montrer ma fente, ourlée, belle comme peut l’être un vagin de jeune fille.
    
    Il n’a pas pu s’empêcher d’y mettre la main, les doigts, de la caresser, de constater ce que je pouvais éprouver sous l’effet de ses attouchements, son sexe devenant hyper dur dans son pantalon, qu’il a vite baissé, que je n’ai pu m’empêcher de caresser à mon tour, de prendre en bouche et d’en déguster la liqueur qu’il a déversée en moi.
    
    Interloqués par ce qui venait de se produire, il a promis de m’aider, et c’est avec beaucoup de patience qu’il a pu obtenir l’adresse d’un endocrinologue, ...
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