Jennifer 2.0
Datte: 09/08/2020,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
hplusag,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
policier,
aventure,
sf,
fantastiqu,
merveilleu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... passe là-bas !
— Oui, pour que ça marche, il faut en effet que je jouisse là-bas. Mais pour prendre du plaisir, on peut très bien commencer ici…
Ben voyons ! Seulement, elle n’a pas fini sa phrase que déjà son cul commence sérieusement à tanguer, à tel point que j’en suis à deux doigts de passer par-dessus bord. Alors, puisqu’elle en a décidé comme ça, je commence à m’activer quelque peu, et très vite mon ventre commence à claquer contre ses fesses rebondies. Comme, en même temps, je la sens se titiller le petit bouton, quelque chose me dit qu’elle ne va pas tarder à exploser… Et cela tombe bien, parce que de mon côté, je sais que ne tiendrai pas non plus très longtemps.
J’essaie quand même de réduire la voilure, à la fois pour faire durer le plaisir mais aussi en espérant que les routiers se soient désintéressés du cri de tout à l’heure. De toute façon, s’ils s’étaient vraiment doutés de ce qui se passe, ils ne seraient vraisemblablement pas restés là-bas, à joyeusement gober les mouches…
Oui, mais… Voilà, je ne tiens plus. Alors, sans m’occuper le moins du monde de ces satanés routiers, je pousse doucement Jennifer vers l’arbuste. Message reçu fort et clair, comme on disait quand j’étais bidasse ! D’ailleurs, je jurerais que le petit manège que ses doigts entretenaient autour de son petit bouton vient de repartir de plus belle… Comme je ne suis pas en reste et que c’est désormais comme un forcené que je lui pilonne le cul, l’inévitable ne tarde pas à se produire ...
... et j’explose bien vite dans son fondement, aussitôt accompagné du feulement de jouissance de Jennifer… Côté discrétion, on repassera !
Le temps pour moi de me rebraguetter en catastrophe et pour elle de descendre sa jupe, je démarre en trombe au nez et à la barbe des routiers. Pourtant, à leurs sourires goguenards, quelque chose me dit qu’ils ont très bien compris ce qui se passait… Et même si cela n’a pas duré longtemps, ils ont sans doute bien profité du spectacle.
— Alors, c’est quoi la suite des réjouissances ?
— Dans un resto.
— Il y est encore question de sexe ?
— Évidemment. Mais on ne peut pas aller n’importe où.
— Ah bon ? Pourquoi ?
— Tu verras bien… En tout cas, Vincent m’a implanté une liste de ceux qui peuvent convenir. Seulement, je ne pense pas qu’on puisse s’y pointer à cette heure-ci.
Je jette un œil sur ma montre : nous n’en sommes qu’au début de l’après-midi.
— Non, en effet…
Et en même temps, cela m’arrange bien ; cela va me donner l’occasion de me reposer un peu et à mes roubignolles de reprendre des couleurs.
— On pourrait se trouver un coin de campagne et s’y reposer quelques heures, le temps d’attendre que ton resto ouvre ?
— Bonne idée, répond-elle, taquine. Personnellement, je n’ai pas besoin de repos ; mais toi, tu es épuisé. Et tout à l’heure, j’aurai encore besoin de ta semence…
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Franchement, une petite sieste à l’ombre de quelques arbres au beau milieu d’une pâture loin de toute l’agitation du monde, ...