-
Ma copine Naima.
Datte: 08/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds
... ! - Je te respecte et respecte les coutumes de ton pays… Je ne te forcerai pas… Ce que tu me donnes me suffit ! Je bandais toujours… mais nous avons pris quelques instants de repos avant que Naima revienne jouer avec ma bite pour me remettre en forme et d’elle-même me couvrir d’un préservatif qu’elle était allé chercher dans ma table de nuit… Elle savait ce qui allait suivre… Une nouvelle fois, elle s’est mise en levrette, tournant la tête vers moi elle m’a dit : - Qu’est-ce que tu attends ? Regarde comme j’ouvre mes fesses ! C’est vrai que la pose était parfaitement obscène et je me suis introduit dans le cul de ma copine que j’ai sodomisée à longs traits jusqu’à ce que je gicle au fond de la capote ! Nous nous sommes écroulés l’un sur l’autre, ma trique toujours au plus profond… mais Naima m’a en quelque sorte désarçonné pour venir enlever le préservatif et gober mon gland englué de mon foutre. - Humm… Tu as bon goût ! La prochaine fois tu m’empliras la bouche de ton sperme… Elle a eu satisfaction lors de notre rencontre suivante… et pendant toutes les vacances, nous avons passé de nombreux après-midi ensemble… Nous avons varié les positions… de la levrette nous sommes passés à ce que j’appelle « la paresseuse arrière », c'est-à-dire que Naima s’allongeait sur le lit et je me mettais derrière elle qui ouvrait ...
... ses fesses pour que je la prenne… Pendant ce temps là, elle caressait sa chatte et la jouissance nous emportait rapidement… D’autres fois, quand elle m’avait bien sucé au point que ma tige se dressait sur mon pubis, elle déroulait la capote et s’empalait littéralement sur ma bite… Pendant qu’elle montait et descendait à la recherche de son plaisir, je caressais les pointes de sa poitrine pour faire saillir les tétons que je mordillerais ensuite pour la faire frémir et lui donner envie d’une seconde saillie ! Après, lors de la rentrée universitaire, nos rencontres se sont espacées puis au cours de l’été suivant, ma copine est repartie au pays où elle s’est mariée avec celui que ses parents avaient choisis. Mais la dernière fois où nous nous sommes rencontrés la veille de son départ, j’ai eu le privilège de la découvrir entièrement nue : la touffe de son pubis et ses aisselles étaient rasées en prévision de son mariage… Quelle douceur… Je n’ai pu m’empêcher de lui faire l’amour une dernière fois… dégustant avec délices sa chatte imberbe et à la sodomiser encore une fois, l’amenant à la jouissance deux fois de suite… Quelques temps après, je recevais une carte disant : MERCI POUR TOUT ! TU M’AS APPRIS BEAUCOUP DE CHOSES ! MON MARI ME REND HEUREUSE ET JE SAIS QUE JE LE RENDS HEUREUX GRACE A TOI ! Je n’en demandais pas tant !