1. La fille du patron (2)


    Datte: 08/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: letiche, Source: Xstory

    ... et la raie de mon cul sont trempés. Sa toison est poisseuse de sa mouille.
    
    Quelle chiennasse, bordel, je vais la tringler à fond, je redouble mes coups de reins, je vais lui perforer la matrice. Lorsque j’en aurais fini avec elle, sa moule sera en compote, elle n’arrivera plus à en prendre une avant un bon moment.
    
    Mon gland tape bien au fond, je ressort ma bite au maximum et me remet violemment au fond de son ventre, encore et encore.
    
    Mes mains sur ses hanches la font monter et descendre en cadence.
    
    J’en profite pour lui sucer en alternance ses tétons, les mordre.
    
    Et soudain, je sens son ventre se resserrer sur ma tige, elle jouit, et j’ai vraiment la sensation qu’elle étrangle mon sexe. Ma queue est devenue un trayon de vache et elle essaye de me soutirer du lait.
    
    Je ne tiendrais pas, je me laisse emporter. Je viens en trois ou quatre puissants jets, j’ai la sensation que mes couilles sont absorbées.
    
    Elle s’affale sur moi, et nous restons collés l’un à l’autre, l’impression d’être deux limaces collés l’une à l’autre.
    
    Après quelques minutes de récupération, caresses et baisers, mon sexe ramollit et sort de son ventre chaud. Elle se relève et part vers la salle de bain en me disant qu’elle revient de suite.
    
    Je suis dans ce divan trempé, assis dans une flaque de mouille et de sperme, ...
    ... le tout mélangé et je baigne dedans.
    
    Elle revient et me demande si je veux venir prendre une douche.
    
    Bien sur que je veux, besoin de me rafraîchir après cette étreinte torride.
    
    Passage à la douche, je reviens au salon, elle a épongé le divan, elle est allongée et m’attend.
    
    — Viens, il faut que je te parle.
    
    — Oui, je crois que c’est nécessaire après ce que nous venons de vivre.
    
    — Ecoute, depuis le premier jour ou je t’ai vu à la boite, j’ai eu envie de toi. J’ai mis mon compagnon dehors, je veux que tu viennes vivre avec moi.
    
    La, il y a un blanc de ma part...
    
    — Mais, je suis marié, j’ai des enfants, on ne part pas comme cela.
    
    — Je l’ai bien fait pour toi. Tu n’auras plus besoin de travailler enfin comme tu le fais actuellement. Et je ferais tout ce que tu auras envie pour que tu ne regrettes jamais ta décision. Tu pourras tout me demander, jamais je ne te refuserais quelque chose. J’ai envie de faire plein de choses folles avec toi, que nous ayons un nous deux ensemble.
    
    — Tu veux dire que tu serais prête à accepter toutes mes demandes et réaliser tout ce que je te demanderais de faire.
    
    — Oui, si tu viens vivre avec moi, tu seras mon amant, ami, maître, je serais ta femme, maîtresse, soumise ou putain si tu me le demandes.
    
    L’homme est faible, je n’ai pu résister.
    
    à suivre... 
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