1. La petite nana qui avait des dettes


    Datte: 08/08/2020, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Ce jour-là, avec Mathilde, j’ai joué le rôle du propriétaire de notre appartement qui venait frapper à notre porte pour réclamer deux loyers de retard. Mais j’étais absent et Mathilde était seule. Elle invita le propriétaire à entrer. Il était en colère.
    
    Dans ce scénario, nous étions un jeune couple qui avait des difficultés financières. Ce n’était pas le cas en vrai, mais Mathilde interpréta son rôle à la perfection. Et moi aussi, je crois.
    
    Elle demanda au propriétaire de se calmer et lui proposa un verre. Il refusa. On lui devait presque mille euros et ça ne pouvait plus durer. Il voulait repartir avec un chèque.
    
    « Ce n’est pas en s’énervant que les choses vont se régler, dit Mathilde dans le plus grand calme. Asseyez-vous et prenez un verre, j’étais sur le point de m’en servir un. »
    
    « Je ne me suis pas déplacé pour prendre un verre, dis-je en fusillant ma locataire du regard. Où est votre conjoint ? C’est lui qui me fait les chèques et je voudrais lui parler. »
    
    « Il est en formation pendant toute la semaine à Orléans. Il sera de retour vendredi soir. »
    
    « Vendredi soir… dis-je. Et vous, vous avez un métier ? Vous pourriez peut-être faire ce chèque à sa place, non ? »
    
    « Non, je suis étudiante. J’ai juste une bourse et je fais la plonge dans un restaurant pour compléter mes revenus. Nous traversons une mauvaise passe. Arrêtez de vous énerver. Asseyez-vous et acceptez un verre, je vais essayer de téléphoner à mon ami. »
    
    Je soupirai en regardant ma ...
    ... locataire.
    
    Elle portait une petite robe de printemps, kaki, dotée d’une ceinture et boutonnée devant. Je distinguais un peu la naissance de ses seins. La robe lui arrivait au milieu des cuisses. Elle était pieds nus.
    
    Je me suis assis dans le canapé sans répondre.
    
    J’ai suivi des yeux la fille quand elle a quitté la pièce.
    
    A son retour, elle avait deux verres de kir dans les mains. Elle m’en a tendu un et je l’ai remercié dans un grognement. Elle a posé le sien sur la table basse et s’est assise à l’autre bout du canapé, à ma droite, à moitié tournée vers la table et vers moi. Elle a sélectionné un nom dans le répertoire de son téléphone et l’a collé à son oreille en me regardant. Le temps que ça réponde, elle a croisé les cuisses. Le bouton du bas de sa robe était défait et j’ai aventuré mon regard à cet endroit.
    
    Et son conjoint a répondu.
    
    La fille a dit :
    
    « Chéri, c’est moi. Ça va ? Bon… Oui, ça va. Ecoute, le propriétaire est là et il voudrait qu’on lui règle les loyers. Oui, tout de suite… Il est venu pour ça et… Non, mon compte est déjà à découvert. Ben oui, il est en colère, dit-elle en me regardant dans les yeux. »
    
    Elle décroisa ses cuisses et les croisa dans l’autre sens. J’évaluai à moins de dix centimètres la distance qui séparait le deuxième bouton de sa culotte. Elle avait la peau dorée. De belles jambes. Et je pouvais toujours voir la naissance de ses seins dans son décolleté, sans pouvoir affirmer qu’elle portait un soutien-gorge, ou ...
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