1. Les confidences de Caro


    Datte: 08/08/2020, Catégories: f, fh, froid, parking, voiture, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Auteur: Evelyne63, Source: Revebebe

    ... le dossier de nos sièges, le sien et le mien, puis il m’invite à prendre une position confortable. Il se déshabille, puis me rejoins. Il est à mon côté, je m’offre à ses caresses et lui donne mes lèvres. Notre baiser est passionné, sa langue est puissante, je cède le terrain et le laisse envahir mon palais. Je me venge sur sa queue que je tiens bien en main. Je n’ai pas d’impatience, mais je serais néanmoins frustrée si pour une raison ou pour une autre il advenait que ladite queue n’investisse pas mon ventre. Elle est à moi, elle m’est due, je la veux. Pendant que je rumine ma profession de foi, les mains viriles explorent mon corps, sans finesse, sans ménagement, mais cela ne me déplaît pas, tout y passe, mes fesses, mes cuisses, mon sexe, mon ventre, mes seins.
    
    — Pourquoi tu portes un soutien-gorge ?
    
    Je devine l’arrière-pensée, il s’étonne du contraste : pas de culotte, pourquoi un soutif ? Je suis bien d’accord, je me passe plus volontiers du soutif que de la culotte… J’évacue néanmoins d’un mouvement évasif de la tête, je n’ai pas envie d’expliquer l’inexplicable.
    
    — Enlève-le !
    
    Il ne me vient pas à l’idée de refuser. J’évacue le pull et dégrafe le soutif. Je suis nue, seulement vêtue de mes sneakers que je porte sans chaussettes. Bernard les a vues, il ne m’a pas demandé de les enlever, elles sont assorties à la couleur du cuir de sa voiture. Marco n’aime pas quand je mets mes pieds partout dans son véhicule, ça laisse des traces, me dit-il ; Bernard ne dit ...
    ... rien. Il a écarté mes cuisses et manœuvré pour me prodiguer un cunnilingus. L’opération s’apparente aux grandes manœuvres militaires, mais j’apprécie au final de sentir la fraîcheur de sa bouche sur mon sexe bouillant. Il ne s’attarde pas. Frustrée, je m’en plains.
    
    — Je reprends à deux heures, m’annonce-t-il en guise d’excuse.
    
    Je comprends qu’il s’agit du taf, le temps est compté, précipitation de rigueur, il me couvre et me pénètre dans la foulée. J’en ai le souffle coupé, ce n’est quand même pas un petit modèle. Je reprends mes esprits.
    
    — Tu ne te protèges pas ?
    — Pour quoi faire ? Tu ne veux pas que je plante une petite graine ?
    
    Et sur ce, il replante son pieu et se lance dans un galop effréné. Les débats au sénat sont reportéssine die… Place au jeu du cirque, la foule clame les ovations… Ou bien est-ce moi qui suis si braillante ? Bien entendu, je ne me laisse pas écraser sans rien faire, et quoique le loustic pèse bon poids, je lance mes forces dans la bagarre, mon bassin part à l’assaut, et fait bonne figure quand bien même il serait bigrement transpercé. L’exercice est malgré tout gourmand en énergie, il vient un moment quand la pause s’impose, il faut recharger les batteries. Le plus costaud - comprenez le plus résistant - n’est pas celui auquel on pense. Peut-être que l’âge entre aussi en ligne de compte, allez savoir ! Bernard crache ses poumons. Le gueux n’a plus de souffle et se permet encore de faire le fanfaron…
    
    — Ton jules, il sait pas te baiser, ...