1. Les confidences de Caro


    Datte: 08/08/2020, Catégories: f, fh, froid, parking, voiture, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Auteur: Evelyne63, Source: Revebebe

    ... ma blouse révélant mon impudeur. Pas folle la guêpe ! J’entreprends aussitôt de tirer le rideau sur ce que j’ai laissé entrevoir un instant.
    
    — Ne boutonne pas ta jupe, je t’en prie
    
    Sa main a atterri sur ma cuisse, m’empêchant de procéder. Le message est subliminal, mais explicite. Je n’envisage pas une minute de contrer Bernard, il me paraît vain de lutter pour dissimuler ce que je meurs d’envie de montrer. J’ai d’ailleurs déjà cédé dans ma tête, une fébrilité jouissive signe ma capitulation inconsciente. On ne lutte pas contre les forces souterraines. J’acquiesce formellement : « d’accord », il retire sa main. Je retire les miennes, ma jupe s’ouvre à nouveau, les pans baillent et encadrent le triangle lubrique, dans l’ombre duquel niche toute ma folie. Bernard mate, négligeant la conduite…
    
    — Regarde la route, tu vas nous envoyer dans le décor.
    
    La pudeur ne m’étouffe pas, disait ma mère autrefois. Elle ne m’étouffe toujours pas, je cultive au contraire un travers exhibitionniste, dont la réalité n’est plus à démontrer. Je le laisse mater, son plaisir amplifie le mien. Des comparaisons me viennent à l’esprit, la présente exhibition égale-t-elle la précédente à laquelle je me suis prêtée un peu plus tôt, au bénéfice de Pierre, mon interlocuteur préféré, par photographie interposée. Qu’est-ce que je préfère ? Le direct, ou via Internet ?
    
    — Tu ne diras rien à Marco ?
    — Pour qui tu me prends ?
    
    De toute façon, ce n’est plus tellement mon affaire, mon destin est ...
    ... du ressort du Très-Haut désormais. Je n’ai pas de craintes, même lorsque Bernard ralentit. Il le fait alors que nous ne sommes plus très loin de l’entrée de l’autoroute ; il vire et s’engage sur un chemin de terre.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ?
    — J’ai trop envie…
    
    Mon sort en est jeté, je ne vois pas d’échappatoire. J’en veux malgré tout aux hautes instances en charge, j’aurais aimé une notification plus personnelle. J’exprime ma désapprobation.
    
    — Tu n’as quand même pas l’intention de me violer ?
    — Non, non, ne crains rien, c’est pas mon genre. Je vais seulement me taper une queue, j’ai trop envie.
    
    Pour un peu, je serais presque déçue. Il roule encore une centaine de mètres et se gare dans une toute petite clairière nichée au milieu d’un taillis très dense. Il libère la ceinture de sécurité, ouvre sa portière, mais ne descend pas ; en place il recule son siège à fond, puis défait la ceinture de son pantalon, débraguette, et sort son sexe déjà bandé, qu’il se met à branler.
    
    — Regarde-moi, s’il te plaît, ça m’aide de savoir que tu mates, quand je serai prêt j’irai éjaculer dehors, promis !
    
    Il dit ça comme si j’avais craint qu’il n’éjacule sur moi ou à l’intérieur. Je suis à cent lieues d’avoir une pensée aussi construite. Je l’observe abasourdie, son sexe est gros, bien plus que celui de Marco, bien plus que celui de la plupart de mes ex. Il me faut remonter loin pour me remémorer un tel calibre. La situation est ubuesque. Mon propre désir gronde dans mon ventre ; ...
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