Meilleurs amis (4) - Histoires de Sexe

Meilleurs amis (4)

... plaisir s’intensifiait, et je transpirais d’excitation. Je voyais aussi que le corps de Lucas était légèrement humide de transpiration. Je lui en avais peut-être trop demandé... Mais il n’avait pas l’air d’être fatigué, mis à part un essoufflement même pas aussi important que le mien. Je lui ai demandé s’il allait bien, s’il voulait changer de position, et il m’a répondu qu’il prenait énormément de plaisir et qu’on ferait tout ce que je veux... Tout ce que je voulais, c’était lui, lui et encore lui. En fait, je ne voulais pas que ça s’arrête, mais j’ai aperçu sur son visage un air qui me rappelait celui qu’il avait quelques instants auparavant, lorsqu’il avait éjaculé sur ma main. J’ai compris qu’il allait jouir. Je lui ai passé une main dans ses cheveux, ai appuyé à l’arrière de sa tête pour l’inviter à m’embrasser. J’avais mis ma langue dans sa bouche, et il a joint la sienne en ralentissant un peu ses coups de reins. Il a décollé ses lèvres des miennes et il m’a prévenu qu’il allait venir assez vite. Je me doutais bien qu’il n’allait pas éjaculer encore une fois après l’avoir fait quelques minutes avant. Je lui ai donc dit de continuer et de se laisser aller. Il a joui en moi, arrêtant de me pénétrer pendant quelques courtes secondes lors de son orgasme. Il n’avait pas gémi, mais j’ai senti que ses muscles s’étaient contractés, notamment ses bras de part et d’autre de moi, qui le retenaient au-dessus de moi. J’ai profité de ce moment pour relever un peu ma tête et ...

... l’embrasser dans le cou. J’ai senti que mon baiser l’a fait frissonner.

Alors qu’il se remettait de son orgasme, je lui ai demandé s’il pouvait essayer de me pénétrer de manière qu’il puisse être plus à l’aise, mais qu’il reste au-dessus de moi. Je suis donc restée couchée sur le dos, j’ai pris un coussin pour relever ma tête, et j’ai plié les jambes en ramenant mes genoux vers mon ventre. De cette façon, il a pu d’appuyer un peu plus sur l’arrière de mes cuisses. Lucas a commencé à me pénétrer tout doucement. D’un côté je ne voulais pas que ça s’arrête, mais d’un autre côté, j’avais envie de jouir moi aussi. J’ai donc fait un peu pression avec mes cuisses en les resserrant un petit peu, de manière à ce que son sexe soit plus à l’étroit dans mon vagin. Cette technique s’est avérée très efficace, car je sentais encore plus les va-et-vient de sa verge en moi. J’avais l’impression que le plaisir m’envahissait beaucoup plus vite qu’avant. Je remuais légèrement mon bassin, ce qui a incité mon partenaire à accélérer le mouvement. Il avait l’air de fatiguer petit à petit car il me pénétrait à un rythme irrégulier à présent. Mais j’ai compris qu’il accélérait parfois par petits à-coups, ce qui faisait claquer son bassin contre mes fesses. A chaque fois qu’il le faisait je poussais un gémissement plus sonore. Après quelques courtes minutes, le plaisir est monté très vite, et très fort, me procurant un orgasme. Jamais je n’avais connu un plaisir si intense et jamais auparavant je n’avais ...