1. Le Pensionnat


    Datte: 06/08/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byinnbay, Source: Literotica

    ... aucun doute à Anne. Le pénis court et épais du gros salaud était complètement engagé dans le vagin de sa meilleure amie. Le rythme et les ralements de plaisir du directeur s'accentuaient. Il la pénétrait de plus en plus rapidement, avec de plus en plus de force.
    
    "Petite pute, t'as une belle petite plotte chaude... fais-moi venir, salope..."
    
    Anne était offusquée, dégoutée par ce langage ordurier mais, ce qui la troublait davantage, c'était d'entendre Madeleine, les gémissements de Madeleine. Non plus les plaintes de celle qui résiste et se débat mais bien les cris de quelqu'un qui éprouve du plaisir.
    
    Comme il l'avait fait plus tôt, l'abbé braqua sa caméra sur le visage de sa meilleure amie. Ses yeux étaient toujours clos mais sa respiration s'était accélérée ... Anne n'en croyait pas ses yeux: une forme de plaisir semblait se lire sur son visage!!!
    
    Anne remarqua aussi le faciès du gros homme étendu sur elle: empourpré, la bouche ouverte... prêt à jouir lui aussi alors qu'il la labourait toujours de son vieux sexe bandé, éprouvant tout ce plaisir que seul le viol d'une jeune fille aux seins fermes, au sexe étroit, à la peau douce, au corps parfait peut procurer à un homme de cet âge.
    
    "Salope, je vais jouir!", éructa le directeur violeur... "Ah oui, ah oui... je viens là, je jouis.. prends-le mon jus... prends-le bien tout au fond de ta petite plotte..."
    
    Le visage de Madeleine se crispa de plaisir et elle poussa deux longues plaintes.... "Haaaaaaaaaa.... ...
    ... Haaaaaaaaaa......", entrecoupées de petits cris aigus...
    
    Madeleine, Madeleine... sa meilleure copine venait d'être violée sous ses yeux et elle avait joui!
    
    Anne n'avait jamais été aussi troublée, aussi confuse... Elle ne pouvait admettre qu'elle puisse elle-même se laisser aller à toute forme de plaisir. Tout cela était mal, immoral. Comment pouvait-elle mouiller alors qu'elle était nue, attachée livrée aux caresses de ces deux vieux dégoutants. Et pourtant, elle sentait une forme de jouissance monter en elle. Ses mamelons se durcissaient, son clitoris s'allongeait, les lèvres de sa vulve se gonflaient. Ils allaient la toucher, la caresser, la lécher, la sucer...
    
    Elle allait actualiser tous les fantasmes qu'elle avait eus en rêve depuis les derniers mois: être nue, pénétrée, violée... Elle revoyait le visage de Madeleine, elle revoyait le plaisir qui s'y lisait, l'orgasme qui l'avait envahie lorsque le directeur s'était soulagé en elle. Les mots vulgaires et pervers utilisés par les deux hommes résonnaient en elle: pute, salope, plotte, viol.... viol... viol... encore et encore... Avoir du plaisir, connaître l'orgasme contre sa volonté.... comment était-ce possible???
    
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    Les mains des deux hommes qui la touchait ramenèrent Anne à la réalité...Assis, de chaque coté du lit, ils faisaient glisser ses bas de laine bleue le long de ses jambes pour les ramener jusqu'à ses chevilles.
    
    Les deux vicelards se penchèrent sur elle, leur bouche ouverte, leurs langues ...
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