Le Pensionnat
Datte: 06/08/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byinnbay, Source: Literotica
... que j'ai lu ton journal.."
Anne ne répondit pas, elle entendait l'abbé mais était incapable de bouger...
"Allons, je vais le faire à ta place...", continua l'abbé... et ses mains glissèrent vers le premier bouton de son chemisier. De ses longs doigts noueux, tremblant de plaisir, il le détacha. Le deuxième, troisième et quatrième boutons suivirent... Il fit glisser lentement le chemisier de l'adolescente hors de sa jupe et détacha les derniers boutons. Puis, lentement, il ouvrit la blouse de la jeune fille, la fit glisser sur ses épaules et la laissa tomber au sol.
Malgré la chaleur de la pièce, Anne sentit un frisson de honte courir sur son corps. Les pointes de ses petits seins se dressèrent glonflant le tissu de son soutien gorge.
"Magnifique", croassa le directeur, toujours assis derrière son bureau, en train de se branler sans retenue.
"Vous avez raison, M. le directeur. Notre petite Anne semble avoir de beaux petits seins bien fermes et très sensibles selon ce qu'elle nous livre dans son journal..."
Les mains décharnées du vieil homme qui ne s'étaient jusqu'à présent attardées qu'à ses épaules et son cou glissèrent lentement sous les bras de l'adolescente dans le but évident de se refermer sur la poitrine de la jeune fille...
Devinant ses intentions, Anne serra les bras contre son corps...
"Tssss.... tsss... tssss..., chère Anne. Tu sais bien qu'il ne sert à rien de nous résister... Allez, laisse-toi faire, allez, laisse-moi te ...
... toucher..."
Vaincue encore une fois, Anne relacha la pression qu'elle exercait avec ses bras sur les mains du vieil hommre lui permettant ainsi d'agir à sa guise.
"Voilà, c'est beaucoup mieux, non?"
Lentement, très lentement, le vieux vicelard fit glisser ses longs doigts en direction des seins de l'adolescente. Elle frémit de honte lorsque les mains de l'abbé commencèrent à effleurer ses petits seins toujours cachés sous la mince brassière de coton, s'attardant à effleurer les pointes dressées de ses mamelons.
Anne ferma les yeux, pour mieux sentir, pour oublier?... elle ne savait plus. Les mains du vieil homme étaient maintenant complètement refermées sur sa poitrine. Il palpait, malaxait, tripotait doucement les seins menues de l'adolescente. Sans retenue, il frottait sa queue sur les fesses de la jeune fille.
"Magnifique, M. le directeur... Venez donc apprécier vous-même..."
Le gros homme se leva de son bureau ne prenant même pas la peine de remettre son sexe bandé à l'intérieur de son pantalon. Bien involontairement, le regard d'Anne se fixa sur le pénis du vieux salopard...
"Quelle belle petite pute...", dit-il lorsqu'il fut à côté de l'adolescente. "Comme tu es mignonne, petite salope", ajouta-t-il en faisant glisser sa grosse patte sur la joue de la jeune fille. "Avec ses airs de ne pas y toucher... jamais je n'aurais pensé que tu pouvais être si vicieuse, ma petite Anne!"
"Hummm.... comme tu as la peau douce. Sais-tu que tu vas me donner beaucoup de ...