1. La Première


    Datte: 06/08/2020, Catégories: ff, fhh, 2couples, fsoumise, hdomine, soubrette, vidéox, photofilm, facial, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Tanis, Source: Revebebe

    ... J’ai presque eu un orgasme devant tout le monde !
    
    Carole serra la main de la jeune fille pendant que les images défilaient. Celles-ci alternaient avec des gros plans de son visage qui trahissait la surprise et la légère douleur stimulante.
    
    — Quelle scène merveilleuse ! s’écria le scénariste. Je n’aurais pas imaginé que l’on puisse la tourner avec autant de réalisme !
    
    La bite entrait et sortait comme une machine bien huilée, comme le travail formidable d’un piston dans un cylindre, sans à-coups, régulièrement.
    
    Les chairs dilatées collaient à la queue, luisante de lubrifiant. L’homme s’appliquait à la sodomiser avec la régularité d’un métronome.
    
    Lorsqu’il se retira pour jouir, la rosette dilatée de Carole apparut en gros plan sur l’écran, puis le sperme gicla sur les fesses, ruisselant comme dans un entonnoir vers l’anus, dans lequel il disparut, avalé par le rectum.
    
    La scène se termina par une dernière et profonde pénétration qui fit rejaillir le foutre aux commissures de l’anus, le laissant s’égoutter sur les lèvres sexuelles roses.
    
    Les images s’arrêtèrent et les ténèbres subsistèrent un moment avant que la lumière ne revienne.
    
    Lorsque la pièce s’illumina, Carole vit de suite le regard vitreux de Sylvie. Elle avait joui en silence pendant la dernière scène.
    
    Le producteur n’avait rien vu, tout occupé à son scénario et à la façon dont il allait modifier celui-ci pour utiliser au maximum les possibilités des deux filles.
    
    oooOOOooo
    
    Sylvie ...
    ... gémissait…
    
    Carole, couchée tête-bêche sur elle, avait écarté ses lèvres sexuelles et parcourait de sa langue le long sillon rose. Elle s’attardait délicatement sur le petit bourgeon tendu du clitoris, puis plongeait soudainement dans les profondeurs moites du vagin.
    
    La caméra suivait tout cela de très près, filmant la petite vulve humide, ouverte comme un coquillage.
    
    Carole retrouvait le plaisir de caresser une fille, jambes ouvertes, sexe exposé. Elle s’excitait de ces hommes autour d’elle qui la regardaient faire. Ces caméras approchaient parfois à vingt centimètres de son visage et ronronnaient pour saisir le mouvement de sa langue, de ses dents, de sa bouche.
    
    Parfois, Carole mordillait la peau d’une lèvre, l’étirait, la dévoilait aux yeux des cameramen comme une voile de bateau gonflée au vent.
    
    Puis ses doigts écartèrent l’entrée du vagin, abîme brûlant de douceur et d’humidité, dans lequel elle fit délicatement jouer ses doigts. Elle sentit le corps de la jeune fille vibrer sous ses attouchements comme les cordes d’une harpe.
    
    De son côté, Sylvie regardait l’homme qui prenait Carole. Il était doux, et sa longue verge rentrait et ressortait avec lenteur de la vulve éclose.
    
    Il engagea juste la tête de son gland et, après quelques va-et-vient rapides, Sylvie vit le long mouvement qu’il donna pour se propulser au fond du vagin de son amie.
    
    À ce moment, elle happa les testicules au passage et les fit rouler entre sa langue et ses joues.
    
    Puis elle lécha la ...
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