Renard
Datte: 05/08/2020,
Catégories:
Mature,
Auteur: LOU_78, Source: xHamster
M. mon amant officiel, tu me demande toujours des trucs impossibles, comme l’autre jour de me prostituer. Je refuse, je ne suis pas celle que tu crois, même si j’aime par-dessus tout faire l’amour. Par contre j’ai accédé à ta demande de me payer un jeune pour changer, même si à 40 ans, tu n’es pas vieux, tu me baises si bien.
- Où veux tu que je trouve un jeune.
- A la sortie des écoles.
- Il y a quelque chose de détraqué chez toi.
- Tu me connais bien.
Il me donne un de ses baisers qui me font presque toujours flancher.
- D’accord je ferais la sortie des maternelles.
- Imbécile. Va vers des lycéens, ils sont plein d’’envie. En te voyant ils sauront qu’ils ont affaire à une femme qui connait des trucs qu’ils imaginent mal. En plus tu ne risque rien d’autre que d’être un peu déçue.
- Et comment tu sauras ce que j’ai fait ?
- Avec ça.
Me voilà avec un magnétoscope pour enregistrer les bruits que je ferais avec un jeune.
Enfin, me voilà dans un café, juste à coté de la sortie d’un lycée. Je ne me suis pas habillée comme une de ces filles modernes. D’abord j’ai passé l’âge limite de consommation, à 32 ans quand même, pour cette catégorie et ensuite je me sens bien plus « consommable » en étant habillée en classique. Un petit tailleur pas très chic me convient mieux. Je m’installe près de l’entrée, je commande un thé, pas de coca comme ils boivent maintenant ; Seulement je n’aime pas tellement le thé. Je le laisse refroidir.
Entre enfin le gros ...
... de la troupe. Je repère un des lycéens qui malheureusement me tourne le dos. Je ne l’ai vu que de profil quand il entrait. Il discute avec la patronne en me tournant le dos. Je regarde ses fesses moulées dans un jean décorée d’hiéroglyphes que je ne comprends pas. Pour s’empoigner avec un flipper qu’il secoue dans tous les sens.
Il me tourne toujours le dos. Je remarque que la porte des toilettes et juste devant lui. S’il ne me voit pas à la sortie, j’en choisirais un autre.
Je vais me poudrer le nez pour me trouver en face de lui, en le regardant lentement dans les yeux. Je jette même un œil sur sa braguette. Ma fois elle me semble bien remplie. Je pense qu’il comprend ce que lui disent les copains puisqu’il se retourne quand je suis à nouveau à ma table. Il comprend que je lui veux quelque chose.
Il vient d’un pas nonchalant, pour venir s’assoir en face de moi. Il commende un coca. Je le regarde fixement.
- Que me voulez vous ?
- Toi.
- Comment moi ?
- Tu me plais beaucoup, tu as l’air d’être gentil avec les femmes.
- Ca dépend pourquoi.
Il se méfie encore, pourtant il aurait déjà compris s’il avait voulu. Je ne lui veux pas de mal, au contraire.
- Tu as une copine ?
- Non.
- Pourquoi ?
- Elle ne veut pas….
- Baiser ?
Mon langage cru l’étonne. Autant dire ce qu’il comprend, que tout le monde comprends en parlant français. Il rougit un peu en répondant d’un air gêné un oui étranglé.
- Tu sais c’est-ce que je veux faire, baiser, ...