1. Mon Apocalypse à Moi 02


    Datte: 05/08/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

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    C'était une journée moche, ce second jour. J'allumai la lumière. Bon, encore de l'électricité. Au moins, quelque chose marchait encore quelque part. J'allais dans la salle de bain. Le robinet coulait. Je descendis faire chauffer un café. Elle descendit et vint chercher des bols. Je lui servis son déjeuner. Elle sucrait son café. Je commençais à préparer le nécessaire pour notre sortie. Je lui donnais un treillis trop petit pour moi, une veste de cuir,et elle avait ses baskets. Elle avait remis son t-shirt de la veille. Je lui réglais son sac à dos et en avant Guingamp. Je traînais le cadavre de la terrasse dans le coin où je brulais mes herbes à l'automne. Christelle s'étonna des plaies et des traces de coup sur le corps nu de la morte.
    
    -Vas savoir. Dis-je.
    
    Elle ne posa aucune question au sujet de la présence d'un zombie dans mon jardin.Elle ne venait pas de dehors. Je ne l'avais pas reconnu la nuit, mais à présent, je voyais bien que c'était Karima. Elle s'était relevée, ce qui prouvait que cette épidémie affectait les morts récents. Karima avait été pendue par un pied dans mon cabanon pour que son sang soit drainé convenablement. Son corps s'était réanimé et après s'être agitée frénétiquement, elle avait brisé ses liens.
    
    Ma camionnette ronronnait sur la route. Je me garais devant un petit pavillon de banlieue typique de l'île de France. Je forçais la porte avec un pied de biche et on pilla les réserves de non périssable. Elle faisait des aller retours entre ...
    ... l'entrée et la camionnette. Les provisions s'empilaient. Et une petit groupe de zombies rapprochaient. J'épaulais la 22. Je superposais le guide, le viseur et la tête d'une jeune femme. La détonation était ridicule avec ces armes. Mais l'effet radical. Pas de grande gerbe de sang. Juste elle tombe à genoux puis face contre terre, comme une marionnette dont on aurait coupé le fil. J'aligne encore cinq autres grogneurs avant qu'un groupe plus important ne commence à d'approcher. Deux autres sortirent en grignant et au pas de course des fourrés derrière moi. Le fusil à pompe explosa leurs crânes avec des détonations tonitruantes . Je fis signe à Christelle de rembarquer et démarrais vers chez moi.
    
    Elle prépara le déjeuner. Mon frigo était plein de yaourts. J'adore les yaourts. Cela allait me manquer. Ce qui m'aurait manqué vraiment,je l'avais. Sur un mot de moi,, elle s'agenouilla entre mes jambes écartées et s'escrima sur ma braguette à boutons. Elle noua ses doigts autour de la base et arrondit ses lèvres pour emboucher mon vit. Elle commença à monter et descendre.
    
    -Sers toi de ta langue. Tourne autour. Masse les burnes. Hésite pas à baver, j'aime ça.
    
    Elle appliquait, maladroitement, mes consignes mais s'en acquittait au mieux. Je me vidais avec un profond soupir. Elle déglutit, mais avec toute sa bave, se fit une barbichette gluante . J'éclatais de rire. Elle rit aussi. Je lui caressais la tête, comme un animal familier. Elle s'essuyait avec une serviette en papier et ...
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