1. Dérapages. 07


    Datte: 04/08/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... sens palpiter autour de mon pieu, tentant piteusement de me chasser des lieux. Mais je n'en ai cure. Je reste immobile en elle, pas par pitié, non. Je veux la défoncer avec le maximum de puissance, pour cela je laisse le sang de son dépucelage bien lubrifié les lieux ainsi que mon sexe. Pendant ce temps, je malaxe avec force ses deux gros seins, ils sont bien ferme, bien doux. Jess me supplie entre deux cris.
    
    - Papa, sort!!! Pitié... papa, sort de moi... Je... je... suis ta... fille...
    
    Pour tout réponse, je gobe son sein droit, j'en mord le mamelon avec force.
    
    - Aaaaaaarrrrrrrrrrggggggggghhhhhhhhhhh!!!
    
    Son hurlement est inhumain, je lâche son sein, je regarde mon œuvre. Une fine rigole de sang coule de son téton que j'ai légèrement entamé avec mes dents. Je pense qu'il est temps d'accélérer les choses, je me mets à aller-et-venir en elle. D'abord doucement, pour m'approprier son étroit conduit, bien trop petit pour mon engin. Jess crie, supplie.
    
    - S'il-te-plaît , papa!!! S'il-te-plaît, papa!!! S'il-te-plaît papa!!!
    
    Ma fille répète cette phrase comme une litanie, hurlant entre deux. Mais cela n'a pas l'effet escompté, au contraire, ça m'excite vraiment. Je savoure son corps, je la caresse, l'embrasse. Puis je vais de plus en plus vite.
    
    - S'il-te-plaît, arrête!!! arrêteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!
    
    Je viens de pratiquement me retirer de son vagin, avant de m'empaler de nouveau en entier, lui arrachant cette hurlement. Je répète l'opération plusieurs ...
    ... fois, arrachant des hurlements de plus en plus atroce de la part de Jess. Elle n'est plus ma fille, Jess est devenue, pour moi, juste un sexe. Un objet de plaisir, une poupée gonflable vivante. A la chatte accueillante, au trou-du-cul serré, à la bouche de velours. Une vulgaire éponge à sperme, un simple vide-couille. Puis je me mets à la défoncer comme un soudard, massacrant sa chatte encore vierge vingt minutes plus tôt. Je la pistonne comme un malade, comme si je cherchais à la tuer de ma bite devenue couteau, épée, lance. Je lui donne l'impression de vouloir la transpercer, que mon pieu va détruire son estomac, massacrer ses poumons pour lui ressortir par la bouche. Alors Jess fais la seule chose qu'elle puisse faire dans une telle situation de souffrance atroce : Elle hurle. Je sens le plaisir monter de mes reins, je ne vais pas tarder à la remplir.
    
    - Je vais jouir, sale putain!
    
    - Pas dedans, pitié, pas dedans!!!
    
    - Trop tard!
    
    Un orgasme puissant me foudroie quand j'éjacule torrentiellement dans son corps. Jamais jouissance n'a été aussi forte, jamais je n'ai autant éjaculé, même pas dans son cul. En recevant ma semence, le visage déformé par l'horreur, Jess hurle à la mort. Moi je suis au paradis des violeurs.
    
    Je reste de longues minutes, allongée sur le corps de ma fille sanglotante. Elle est secouée de spasme violent, qui branle mon sexe. Me faisant rebander. Jess sanglote atrocement. Spectacle horrible pour la grande majorité des pères, mais tellement ...
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