1. VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (20/20)


    Datte: 03/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... deux coffres-forts l’un à Paris, l’autre à Montpellier.
    
    Je suis assisté de l’avocat ami de Lucas qui m’accompagnera à l’ouverture de ces coffres.
    
    Pour Montpellier, nous y sommes allés le lendemain.
    
    Lingots d’or, des bons au porteur, des grosses coupures en euros constituent un magot plutôt important, leur mort arrête toute la procédure pour proxénétisme et les biens ne peuvent être saisis.
    
    Nous sommes allés quelques jours plus tard à Paris ouvrir l’autre coffre qui recelait la même quantité de biens.
    
    Le culte du garçon seul habilité à hériter était vraiment ancré dans les gènes de ces gens qui n’hésitaient pas à vendre les filles et même leurs filles pour leur simple profit.
    
    Même si les impôts vont se gaver sur cet héritage, il va rester à Arthur assez d’argent pour vivre jusqu’à la fin de ses jours sans se sentir dans l’obligation de faire travailler des filles dans des maisons.
    
    Pour ma part, puisque Pierre n’a jamais divorcé avant que je ne le fasse, il y a quelques mois et que j’épouse Lucas, que nous étions mariés sous le régime de la communauté, je reste propriétaire de tous nos biens.
    
    La maison de Valenciennes que Lucas vient de réussir à vendre un bon prix, la couverture médiatique sur notre affaire ayant attiré des acheteurs un peu glauques, dans la corbeille est tombée un hôtel à Valenciennes qui leur servait lorsqu’ils voulaient ferrer une fille, nous l’avons mis en vente, mais les clients ne se bousculent pas et nous l’avons mis en ...
    ... gérance.
    
    Les trois bordels de Gand, Bruxelles et Anvers, Lucas m’a proposé de tenir en tant que « madame Léa » celui de Gand en souvenir de mes premières passes.
    
    J’ai immédiatement demandé le divorce, bien sûr, il plaisantait et nous venons de signer pour un bon paquet d’euros, la vente groupée de ces trois lieux de prostitution.
    
    C’est un groupe financier qui souhaite les réhabiliter dans la légalité avec des filles entièrement consentantes et des contrats en bonne forme.
    
    Il paraît que cela existe en Belgique !
    
    J’ai accepté cette vente à la seule condition que dans les trois maisons, la roue avec cravache de Gand, la machine à bites de Bruxelles et la machine à gorges profondes d’Anvers restent en place.
    
    Bien sûr, avec un panneau expliquant à quels usages des malades les avait construites et la date où des filles téméraires s’étaient rebellées contre des phallocrates qui les opprimaient.
    
    J’oubliais, moi aussi je suis allé dans des banques, l’une à Valenciennes regorgeant d’argent et lingot, contrairement à son père, Pierre n’avait pas confiance en la bourse et je n’ai trouvé aucun titre au porteur.
    
    Nous sommes redescendus à Montpellier dans la même banque que celle où je suis venue pour voir le coffre de mon beau-père, en me voyant l’employé a cru que je voulais ouvrir le coffre de mon fils, quand je lui ai montré mes papiers, il s’est excusé !
    
    Même résultat qu’à Paris, je suis assise sur un pont d’or.
    
    Que sont devenues les filles ?
    
    Avec l’aide des ...