1. Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (7)


    Datte: 14/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... retourne lourdement. Elle sourit en voyant mon érection. Elle s’attaque à ma bite, mes couilles et à mon scrotum. Elle s’applique, ne veut pas que je souffre de trop.
    
    — Voilà, parfait, on en mangerait.
    
    Bien qu’Aurélie soit une gonzesse charmante, je n’ai jamais pu me la faire. C’est une "goudou" accomplie. Oups, je ne vous l’ai pas présentée. C’est une femme d’une quarantaine d’années, blonde platine coiffée à la garçonne. Un gros fessier, une paire de miches hors norme, sans dépasser ceux de Mélissa. En taille, je dirais un petit mètre soixante-dix. Toujours souriante et terriblement coquine envers la clientèle féminine. Bref, une bonne amie et ça s’arrête là.
    
    Je me lève et me re-douche pour enlever le restant de cire. Puis viens le moment que j’adore le plus. Le badigeonnage d’huile apaisante. Elle m’oint le corps en entier et insiste suer mes parties intimes fraîchement épilées. Ma bite réagit, elle suinte. Mélissa se délecte de cette scène. Elle n’en perd pas une goutte, si je puis m’exprimer ainsi. Aurélie l’invite à venir récupérer ce précieux liquide. Elle saute de son tabouret, en laisse tomber son bouquin et vient me gober le gland.
    
    — Vas-y. Gobe-lui son gros gland. Voilà, comme ça...
    
    Pendant ce temps, la belle esthéticienne la défrusque. Elle lui flatte son arrière-train, si doux au toucher, lui écarte ses grosses fesses. Mélissa, réceptive à ce genre de caresses, écarte les jambes et se cambre pour offrir l’accès à sa moule. Aurélie me félicite, ...
    ... qu’elle a bien progressé en si peu de temps. À moins que ce soit elle qui a des prédispositions à la soumission. Je ne réponds rien. Trop concentré au plaisir immense que me procurent les léchouilles de Mélissa. Elle joue avec mon frein, mon méat en essayant de me le pénétrer. Jouissif au plus haut point.
    
    Quand Aurélie nous demande de changer de salle, Mélanie embrasse mon gland et me sourit. Nous quittons, à regret, nos positions pour aller dans une plus grande, plus chirurgicale. Elle est carrelée de blanc du sol au plafond. Au milieu, deux fauteuils de dentiste. On s’y installe, même si Mélissa va sur le sien en se posant une tonne de questions. Aurélie revêt des gants en latex, un masque hygiénique et tire au milieu des fauteuils une grande desserte à roulettes.
    
    — Je commence par toi, me demande-t-elle, tu as rendez-vous, non ?
    
    — Allez, allons-y. Mélissa, là cette fois-ci c’est peut-être moi qui vais faire une connerie.
    
    — Rhoooo, fait Aurélie, depuis le temps que t’en voulais un... Chochotte, oui...
    
    En très grande professionnelle, elle s’installe face à moi, entre mes cuisses. Elle tire sur mon prépuce et y place une pince en plastique jetable sur la partie inférieure de celui-ci. Elle me désinfecte et passe l’aiguille au centre. Après, je ne regarde plus. Je sens qu’elle me triture la bite. Pendant un moment je crois qu’elle me branle.
    
    — Allez, c’est fini. Très bon choix pour ton faux Prince Albert. Cela fait pervers mais distingué.
    
    Elle m’embrasse le ...