Je suis un jouet entre ses mains (13)
Datte: 03/08/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: donico, Source: Xstory
... en train d’imaginer que je suis sa fille ? Pourquoi me dire ça maintenant ?
Il commence à remuer son bassin pour m’imposer un rythme plus rapide. Je m’exécute donc, pressée d’en finir. Sa main se fait soudain plus ferme derrière mon crâne, il m’agrippe les cheveux pour m’imposer son rythme.
— Tu l’aimes, la bite à papa, ma chérie ? Suce-la bien, papa adore ça !
Je ne dis rien, mais je panique maintenant franchement. C’est bien ce que je craignais : il imagine que je suis sa fille pour s’exciter davantage. Et ses coups de boutoir redoublent ; il me baise maintenant la bouche sans vergogne.
— Ce n’est pas très bien ce que tu fais, ma princesse. Aguicher ton papa comme ça, ce n’est pas correct. Hein, ma puce ?
Il soupire de plus en plus fort. Je me rends compte qu’il est totalement possédé par le désir, au point de perdre le contact avec la réalité. Ou peut-être n’est-ce qu’un jeu pour s’exciter davantage ? Dans tous les cas, c’est très malsain.
— Le matin, tu te promènes dans la maison en chemise de nuit sans te soucier de l’état de ton papa qui voit tes jolies cuisses toutes blanches… Et tes petites fesses que tu agites sous mon nez… Et tes seins, dont je vois les tétons à travers le tissu…
Encouragée par un sourire de Thomas, je décide de jouer le jeu.
— Hmmm… pardon, papa, lâché-je de ma voix la plus sensuellement innocente (autant que me le permet le chibre que j’ai en bouche).
— Pardon ? Il fallait y penser avant, ma petite puce. Hein, ma ...
... princesse salope ?! Maintenant il va falloir soulager papa !
Sa respiration s’accélère encore, il gémit maintenant comme un porc.
— Et quand tu te balades au bord de la piscine en maillot de bain comme une petite traînée, tu penses un peu à ton vieux père qui voit ta chair innocente de jeune salope et qui meurt d’envie d’y goûter ? Et quand tu ramènes tes copines, tes garces de copines, toutes plus chiennes les unes que les autres… Tous ces jeunes corps de pucelles presque nues devant mon nez, et tu voudrais que je ne dise rien ?
Il m’impose des mouvements de plus en plus rapides en me propulsant si fort contre son gros ventre poilu que sa toison pubienne m’irrite les lèvres.
— Je vais toutes les baiser, tes salopes de copines ! Les unes après les autres. Je vais les faire couiner, ces petites putes ! Leurs petits corps de nymphettes seront à moi ; je vais les massacrer sans pitié.
— Hmmm… Elles veulent toutes… goûter… à ta grosse bite, papa… haleté-je au gré de ses coups de reins.
— Aaaahh… soupire-t-il, rendu fou par mes paroles. Et toi, ma fille, papa va te baiser aussi. Papa va te faire mal !
Et effectivement il me fait mal. Il me baise la bouche sans aucune pitié, inconscient de ce que je peux ressentir. Heureusement, le calvaire prend bientôt fin. Il s’agite de manière de plus en plus erratique, puis égrène des vulgarités salaces en se répandant sur ma langue.
— Regarde dans quel état tu mets ton père, salope ! T’as pas honte, sale petite pute ? D’abord ...