1. Méatitudes étoilées...


    Datte: 03/08/2020, Catégories: fh, Oral fsodo, Auteur: ErosWay, Source: Revebebe

    C’était la nuit des étoiles… je ne me souviens plus trop bien de la date mais ce devait être une soirée du mois d’août.
    
    J’étais partie avec mon compagnon de l’époque observer les étoiles filantes. Nous sommes arrivés au sommet d’une colline et avons arpenté le sentier dans le noir afin de trouver un endroit plat où disposer nos couvertures et duvets.
    
    Nous avons fini par le trouver et nous sommes allongés, bien au chaud, l’un contre l’autre, main dans la main, à contempler l’immensité et à faire de nombreux vœux de bonheur quand une jolie traînée filante se déplaçait dans le ciel.
    
    J’ai senti soudain les mains de mon ami se glisser sous mon pull pour caresser ma peau chaude et douce, tendre. J’ai immédiatement saisi son sexe à travers l’étoffe de son jean… Il avait l’air… plutôt déterminé, ce membre-là, vu sa raideur.
    
    L’insolence et la brusquerie de mon geste ont fait émettre un soupir d’étonnement à mon partenaire. Suivit une pression plus forte de ses mains sur les agrafes de mon soutien-gorge…
    
    — Je veux libérer tes seins de toute cette dentelle qui en fait de pauvres prisonniers…
    
    Ces derniers ont allègrement apprécié de se retrouver soudain en liberté et si bien traités. Les douces caresses sur leurs aréoles ont fait naître des sensations douces et impatientes au niveau de mon petit bouton que je sentais se réveiller doucement. J’ai senti mes tétons se dresser, comme avides de caresses… avides d’être mangés, sucés, dévorés…
    
    J’ai saisi la main de mon ...
    ... ami pour la glisser tout doucement entre mes cuisses. Il a empaumé mon fruit d’amour, que je sentais se gorger de sang ; a fait glisser mes grandes lèvres l’une contre l’autre, très lentement, froissant mes nymphes… Je me suis sentie couler dans sa main… Il s’est empressé de me déshabiller entièrement pour m’allonger nue sous les étoiles.
    
    Le fond de l’air était frais mais je n’avais absolument pas froid. Il s’est redressé et m’a saisie par les mains pour m’inviter à faire de même.
    
    Moi aussi je l’ai déshabillé et invité à s’étendre, puis je me suis redressée pour le regarder :
    
    il était couché sur le dos, les yeux fermés. Il se reposait, nu sur le sac de couchage, ses attributs reposant sur leur nid douillet de poils fins. Je me suis agenouillée et sa respiration s’est accélérée mais il n’a pas ouvert les yeux. Il préférait goûter son plaisir en exacerbant ses autres sens…
    
    Je me suis penchée pour souffler doucement sur ses bourses rasées. Elles s’animaient… sa verge se gonflait… le gland se dessinait dans la pénombre… il était beau. J’ai fermé les yeux. Je me remémorais sa belle couleur rubis, légèrement plus claire au pourtour sur la couronne et plus foncée sur le frein. Ma bouche est remontée vers l’extrémité de la queue en soufflant doucement. Maintenant je ne soufflais que sur le gland. J’attendais la première petite perle de plaisir… elle était là.
    
    J’ai sorti la langue et l’ai cueillie… C’était bon, plutôt salé, moins âcre que le sperme. J’ai léché doucement ...
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