La fille du gîte
Datte: 02/08/2020,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Anal
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... m’attendre ?
Je bandais comme il faut, alors je me suis avancé vers Julie en disant :
« Quel âge as-tu exactement ? »
« J’aurai dix-huit ans dans deux mois, dit-elle tandis que je m’arrêtais à cinquante centimètres d’elle. »
Ses talons avaient cessé de cogner la porte du placard.
Ni jolie, ni laide. Des petits seins et un superbe cul.
Des piercings au visage et plein de bagues aux doigts.
Mes érections matinales étaient les plus vigoureuses, voire violentes.
Je lui ai dit :
« Montre-moi tes seins. »
Elle n’a pas mis cinq secondes pour ôter son débardeur blanc.
Pointus et fermes.
De superbes aréoles.
Aucune marque de soutif.
Deux minutes plus tard, elle se retrouva à poil sur le plan de travail de cette cuisine, les cuisses écartées. C’était pile à la bonne hauteur et, après qu’elle m’ait dit qu’elle préférait le faire sans capote, j’ai regardé mon gland s’enfoncer entre les lèvres de sa chatte qui était lisse. Mon gland, puis ma queue tout entière, pendant que je tripotais les seins de cette fille venue faire le ménage dans le gite.
Elle avait tout enlevé en un temps records : son débardeur blanc, ses Doc bordeaux, ses socquettes rouges, son pantalon noir moulant, sa culotte beige transparente. Puis ouvert ses cuisses pour que je lui bouffe la chatte pendant une longue minute, avant de la pénétrer.
Ma queue a glissé dans sa moule comme dans une plaquette de beurre qu’on aurait laissée au soleil pendant des minutes. J’ai embrassé ...
... Julie sur la bouche, avec la langue, puis elle m’a dit :
« Oui, vas-y, bourre ma chatte, vas-y. »
Puis :
« Oh putain, oui, vas-y, bourre. »
Je l’ai bourrée, doucement, sans précipitation. J’aimais baiser le matin. Ma queue était dure comme un bout de bois et je sentais des gouttes de sperme affluer, puis perler au bord de la fente de mon gland. Un compte-gouttes dans la chatte de cette petite nana étrange qui me touchait les couilles pendant que je la pénétrais.
Et moi, je suçais ses petits nichons.
Ses nichons, sa bouche.
Je tenais ses hanches qui ne portaient aucune trace de maillot.
J’ai murmuré dans son oreille :
« Salope. »
Elle a répondu :
« Oui. »
Je me suis retiré d’un seul coup et mon sperme a giclé sur son mont de Vénus qui était lisse comme un galet de Bretagne. Trois belles décharges, suivies de gouttes bien liquides. Julie se branlait pendant ce temps. Elle étalait mon sperme sur sa peau. Et je bandais toujours, alors je l’ai enculée, dans la même position. Sur ce plan de travail carrelé. Ses cuisses bien ouvertes.
Mon gland a forcé son anus, puis Julie m’a enlacé en me disant :
« Défonce, défonce… »
Je l’ai défoncée, délicatement. J’ai atteint le fond de son cul, puis je me suis retiré avant de replonger mon gland dans son conduit étroit.
Et la porte d’entrée s’est ouverte, un étage en dessous.
Depuis le bas de l’escalier, Sarah a lancé :
« Antoine ? »
J’ai sorti ma queue du cul de Julie et répondu :
« ...